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s dont il n’est pas exclu qu’avant longtemps on l’
appelle
à se prononcer sur la question européenne. Je prendrai mon dernier ex
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e ait pu passer inaperçue dans un quotidien qui s’
appelle
précisément La Suisse. Un système bon pour les sauvages Dans l’
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ividualisme hellénistique qui ne manqueront pas d’
appeler
la tyrannie. Rome, en réponse à ce défi de l’anarchie, invente l’État
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eux Ennui, jusqu’à ce vide de l’âme inoccupée qui
appelle
les tempêtes et les révolutions. Le christianisme apporte alors un tr
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Europe désunie mais pas de même nature. Ce que j’
appelle
la colonisation possible par les États-Unis — si nous ne faisons pas
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qui ont été tués dans le poste de Radio Budapest
appelaient
l’Europe à leur secours. C’était extrêmement tragique parce que l’Eur
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omment vous concevez les modalités de ce que vous
appelez
l’adhésion de l’Europe à l’Idée suisse ? Quand je parle de l’adhésion
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ont nom France, Angleterre, Italie, etc. sont-ils
appelés
à disparaître ? Je pense que peu à peu ils se déferont. À mesure que
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tion parce qu’elle me permet de préciser ce que j’
appellerais
« information » tout à l’heure. Quelqu’un me dit : « C’est très joli,
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s tard, tant à Esprit qu’à L’Ordre nouveau , d’
appeler
personnalisme. Dans le lexique unifié de ces groupes, la personne s’o
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oi, le couple est la première cellule de ce que j’
appelle
le fédéralisme, c’est-à-dire l’union dans la diversité. Comment espér
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s choses… », etc. Si lutter contre le Dr Tissot s’
appelle
révolution sexuelle, alors ce n’est qu’un progrès normal vers le bon
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e, non l’union de deux libertés. En politique, on
appelle
cela du totalitarisme. Depuis quand combattez-vous le totalitarisme ?
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ies capitalistes, à la société de profit que nous
appelions
le « désordre établi ». Nous ne voulions pas qu’on critique l’Allemag
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ation de la CECA et à la CE. Mais il y a ce que j’
appelle
l’illusion Monnet : croire que l’économique entraînera nécessairement
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, c’est cela, l’Enfer. Pour combattre ce que vous
appelez
l’Enfer, croyez-vous à la révolution ? Oui, si elle apporte la libert
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es parties constituantes n’aurait pas lieu d’être
appelée
fédérale. Ce serait simplement une union. Donc, point de différence a
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l se fait le champion de la lutte contre ce qu’il
appelle
la sinistrose, c’est-à-dire l’attirance morbide, qu’il attribue à la
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eptembre 1938, au milieu de l’après-midi, je suis
appelé
au téléphone par un ami qui est à la radio suisse. Est-ce la guerre,
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es trois chœurs que j’ai prévus. Quelquefois il m’
appelle
au téléphone : « Au 5e vers, 3e reprise du Choral I, il manque une sy
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’immense majorité de ses concitoyens quand il les
appelait
précisément à se libérer du joug anglais. Alors que les Chinois de la
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s reçu ? », dit notre « mère l’Europe » — comme l’
appelait
déjà une chronique en latin rédigée au début du xie siècle — aux nat
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ait votre définition de la personne ? Ce que nous
appelions
personne, c’est l’homme à la fois libre et responsable. Ce n’était pa
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des années 1930, il y a un premier chapitre qui s’
appelle
: « L’engagement politique » ; un deuxième : « Ridicule et impuissanc
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uelle n’est qu’une juxtaposition d’États ? Moi, j’
appelle
cela l’amicale des misanthropes. Ou bien, il y a une amicale et les m
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t plus simple. Au fond, nous vivons dans ce que j’
appelle
la pluralité des allégeances. L’utopie, c’est vouloir que toutes mes
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prême recours contre les mesures d’union que tout
appelle
. Il faut que l’horizon de l’enseignement ne soit plus la nation et se
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e-image pour résumer toute la révolution que nous
appelons
, qui n’est ni de gauche ni de droite, qui n’oppose au profit matériel
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peur d’être « récupérés » par le fantasme qu’ils
appellent
« Système ». Nier le père ne résout pas le complexe d’Œdipe dont cert
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és de participation du citoyen : au mieux, il est
appelé
à voter tous les quatre ou sept ans pour un candidat à la présidence
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pour traiter un problème public sur lequel il est
appelé
à se prononcer. Dans le second cas, l’information, loin de chercher à
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nt à celle-ci, et qu’en fin de compte ce que nous
appelons
aujourd’hui l’écologie, art et science des équilibres vivants entre l
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lles par les citoyens. L’État-nation, trop petit,
appelle
la fédération ; trop grand, il appelle les régions. Ces deux tendance
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rop petit, appelle la fédération ; trop grand, il
appelle
les régions. Ces deux tendances, loin de se contredire, se commandent
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roblèmes concrets qui se posent dans cette région
appellent
des solutions transfrontalières. Et chaque problème définit une régio
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spective en viennent aux mêmes conclusions : tout
appelle
aujourd’hui les petites unités. Et cela n’est pas contradictoire avec
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roblèmes concrets qui se posent dans cette région
appellent
des solutions transfrontalières. Et chaque problème définit une régio