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ais bien qu’on la constate différente, et qu’elle
appelle
des solutions spécifiques. Ces solutions spécifiques, par la suite, s
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r leur procédé de mesure, le PNB (que je voudrais
appeler
Prestige National Brutal) qui ramène tout à l’État-nation et rien à l
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s chefs d’État, et c’est là leur hypocrisie. Je l’
appelle
l’amicale des misanthropes. Cela peut se dire, non se faire. La seule
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ons sont indéfendables aujourd’hui. Bidault les a
appelées
« des cicatrices de l’histoire », ce qui était assez joli. Le profess
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carré, c’est une impossibilité, c’est ce que j’ai
appelé
souvent « une amicale des misanthropes » : c’est une chose que l’on p
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circulation, l’erreur fondamentale de ce que l’on
appelle
« la réforme régionale ». Le même phénomène se reproduit dans d’autre
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dus, l’État totalitaire va faire son ciment. Cela
appelle
la tyrannie, l’inconsistance des relations civiques. Je pense que cel
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, c’est-à-dire maître de l’État — c’est ce qu’ils
appellent
la dictature du prolétariat — l’État dépérira nécessairement. Toute l
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ment, vis-à-vis des multinationales du type que j’
appellerai
colonisateur, il s’agit de trouver un pouvoir qui pourrait les freine
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t-être par plus petit que la commune. Ce que l’on
appelle
des « communes » par exemple en Amérique ; des colonies, n’importe qu
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e, au niveau de l’administration de la commune. J’
appelle
« politique » l’aménagement des rapports humains, dans une communauté
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ns réserve, en solidarité. Voilà au fond ce que j’
appelle
fédéralisme, et qui résume toute ma doctrine : situer l’homme au cent
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départ d’un chemin particulier vers le But qui l’
appelle
, qu’il le nomme Dieu, ou l’Absolu, la Vérité ou le Bonheur. Le But su
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ologique, pour rejoindre les fins dernières qui m’
appellent
, je ne puis pas aller par la route nationale : elle conduirait au mie
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ire. Que l’on puisse nier l’existence de ce que j’
appelle
la personne, la traiter de fantôme métaphysique, d’illusion verbale,
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le détourner de sa vocation — et c’est cela que j’
appelle
le péché. Le problème de l’aliénation, essentiellement lié à celui de
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n peut dire mais non pas faire. L’Europe que tout
appelle
ne pourra s’édifier que sur ce qui déborde, non seulement par en haut
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e trouve que toute vraie politique de la personne
appelle
la création de petites communautés qui, pour défendre leur autonomie,
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eviner l’avenir. C’est à le faire que nous sommes
appelés
. h. « La personne comme fondement des valeurs européennes », Actes
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wski des recherches psycholinguistiques qu’on eût
appelées
plus tard structuralistes. Et il venait de signer avec Robert Aron La
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: la transcendance de cet « être vertical » qui s’
appelle
l’homme debout, répond victorieusement à l’« horizontalité » de l’imm
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rateur au Centre européen de la culture, que j’ai
appelé
, après sa mort prématurée en 1957, « le seul grand poète luthérien de
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des tâches qui débordent la capacité communale et
appellent
le canton, puis dépassent le canton et appellent la Confédération, il
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appellent le canton, puis dépassent le canton et
appellent
la Confédération, il en existe aussi, et de plus en plus, qui par leu
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onnaissons, l’amour romantique que les Américains
appellent
« romance » est une invention des poètes du Midi de la France au xiie
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resser un plan. Par exemple, dans la région que j’
appelle
lémano-alpine, pour rester volontairement un peu vague, c’est diffici
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a été de recul devant un sujet qui me paraissait
appeler
la compétence de l’économiste que je ne suis pas. Mais je dois vous f
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nry Ford, croise à huit miles de Detroit ce qu’il
appelle
« une locomotive routière ». Il a vécu ce jour-là, dit-il, son « chem
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ade. Mais cette « neutralité active », comme on l’
appelle
aussi, ne se borne plus à refuser de prendre parti dans les guerres q
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re des choses et les dimensions mêmes de la tâche
appellent
normalement. Ainsi l’Europe prend ses racines dans le terreau de l’au
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’origine du fédéralisme suisse se trouve ce qu’on
appellerait
aujourd’hui la volonté d’autonomie locale et d’autogestion. C’est sur
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on et de la création des grands États-nations. (J’
appelle
État-nation la mainmise d’un appareil étatique sur l’ensemble d’une n
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me conflit entre les réalités locales et ce qu’on
appelle
trop facilement les « nécessités » nationales, continentales ou mondi
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ue l’apport principal de la Grèce à ce qu’on peut
appeler
la métaphysique de l’amour (R. Flacelière, L’Amour en Grèce). Il sem
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(J. Ortega y Gasset). Illustrant cette remarque,
appelons
platoniciens inconscients, ou naïfs, tous ceux qui, de la cortezia de
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ême que Freud (dès 1923, dans Das Ich und das Es)
appellera
le surmoi : c’est encore et toujours l’image du Père — celui qui inte
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ont plus que des soupirants. Et si la mort qu’ils
appellent
leur est accordée, c’est sous la forme d’un évanouissement, dont ils
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amour n’est plus seulement métaphorique. Elle est
appelée
dans sa réalité à la fois charnelle et mystique comme l’amour même. D
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iage bourgeois, suffisamment consolidé, permet et
appelle
à la fois cette évasion psychodramatique vers la passion rêvée, son é
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Changer de cap (novembre 1976)v Ce que l’on
appelle
« politique » n’est en général qu’une tactique partisane, mais ce qui
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s. Cette conjoncture nouvelle incite à prévoir et
appelle
une série de développements que rien n’eût permis de prévoir il y a u
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de l’État-nation, contre le vœu des citoyens. Qu’
appelez
-vous l’État-nation ? C’est la mainmise d’un appareil étatique sur la
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unes gens suivent presque à la lettre ce que vous
appelez
mes « prophéties ». Tenez, en mai 1968, ça m’a fait une bien curieuse
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orte l’orage ». À cette fin, nos interlocuteurs s’
appelaient
aussi bien Blumao que Caillaux. Là-dessus, il y a eu la guerre, puis
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la garantit. Or il existe en Occident ce que l’on
appelle
la passion et qui, en fait, n’est qu’une sorte d’utopie unificatrice.
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tits cantons, nous avons eu longtemps ce que nous
appelons
« Landsgemeinde », l’assemblée de canton qui se tenait sur la place p
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e du pétrole en 1973, qui est le type de ce que j’
appelle
une catastrophe enseignante ; parce que ça a fait peur à tout le mond
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du monde moderne au grand public. C’est ce que j’
appelle
dans mon livre « la pédagogie des catastrophes ». Car il y en aura d’
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volontiers cédé la place à un jeune auteur qui s’
appelait
Charles de Gaulle et qui publiait La France et son armée. Entre L’Am
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affaire, et non celle d’une vague fatalité. Il en
appelle
à la liberté et au sens des responsabilités. Cet appel est apparemmen
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Francfort, j’ai vu, j’ai senti ce qu’il faut bien
appeler
l’âme de la foule. Une fausse communauté née de la grisaille et de l’
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x — de puissance, de grandeur. On oublie ce que j’
appelle
depuis toujours l’individu libre et responsable. Vous évoquez, dans v
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de bruit à l’époque, mais qui est resté ce qu’on
appelle
aujourd’hui un groupuscule. Quand la guerre est arrivée, on aurait pu
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e suis chrétien, mais je trouve trop facile qu’on
appelle
volonté divine ce qui nous échappe. Que peut l’homme sur son destin ?
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ogan. Qu’est-ce que le progrès selon vos vœux ? J’
appelle
progrès ce qui est favorable à un meilleur épanouissement des personn
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que traverse aujourd’hui le monde et de ce qu’il
appelle
la « religion de la croissance : ceux qui croient qu’on peut continue
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siècle, l’humaniste œcuménique Guillaume Postel
appellent
à la « reconstruction générale de l’Europe ». Au xviie siècle, le mo
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ance supérieure aux États, à laquelle puissent en
appeler
les personnes et les collectivités, et destinée à assurer la mise en
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ltats les plus spectaculaires de ce que l’on peut
appeler
la période des congrès demeurent sans contredit la CECA et le Marché
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ntreux. Édité par l’UEF, Genève 1948, 142 p. — On
appelait
alors Plan Monnet l’ensemble des mesures décidées pour relever l’écon
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is très longtemps, depuis des décennies, et que j’
appelle
l’opposition entre la puissance et la liberté. La puissance est une e
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stribution, ce double dépassement, c’est ce que j’
appelle
le fédéralisme, mouvement qui s’inscrit, à mes yeux, dans cette alter