1 s procédés des terroristes et ceux de ce que vous appelez les « États-nations ». Je vous cite : Au terrorisme que les États se

2 que fondée sur une certaine idée de l’homme que j’ appelle la « personne » : un individu chargé d’une vocation unique et qui pre

3 oi, le couple est la première cellule de ce que j’ appelle le fédéralisme, c’est-à-dire l’union dans la diversité et non la subo

4 ver ! À la fin de mon livre, je parle de ce que j’ appelle la « pédagogie des catastrophes ». Je ne crois pas comme Rousseau que

5 L’Avenir est notre affaire , il raconte ce qu’il appelle une histoire de fous : celle de l’auto. Quelle est alors son opinion

6 sens, dont j’éprouve déjà le soulèvement et qui s’ appelle tantôt écologiste et tantôt régionaliste, tantôt fédéraliste et tantô

7 s groupuscules parce qu’il nous manquait ce que j’ appellerais un levier. Or ce levier, chose extraordinaire, miraculeuse, il s’offr

8 nous étions vigoureusement hostiles à ce que nous appelions l’État-nation qui en prenant la place du Roi lors de la Révolution fr

9 la police ! » Donc il faut autre chose… Ce que j’ appelle plus sobrement, changer de cap. Au lieu de viser à toujours plus de p

10 phes et des poètes, qui leur a valu ce qu’on peut appeler des succès d’estime, cette idée a progressé dans les esprits par sa v

11 e grand témoin. La conquête suprême de l’Europe s’ appelle la dignité de l’homme et sa vraie force est dans la liberté. Tel est

12 aix sociale, les libertés civiques et la sécurité appellent un régime fédéral, autogéré et décentralisé. Une espèce d’enlisement

13 onise » ? Si c’est « l’Europe des Neuf », qu’on l’ appelle par son nom : c’est un Marché commun partiel. S’il s’agit de l’Europ

14 uerre du Vietnam. Il n’est pas sain que ce qu’on appelle la sécurité de l’Europe paraisse être assurée par la présence de quel

15 les, mais ils sont « le mauvais pays », comme les appellent les paysans. Rien de flatteur, rien de facile, jamais de bel canto da

16 et, en premier lieu, l’Europe, Denis de Rougemont appelle à la responsabilité qui engendre la liberté. Au mot de Jean-Paul Sart

17 démocratie directe est atteinte, le citoyen étant appelé à se prononcer sur des sujets qui mettent en désaccord même les grand

18 stes, et vraiment libres non point parce qu’elles appellent à la révolte mais parce qu’elles se veulent responsables et qu’elles

19 es grandes villes hellénistiques, vide social qui appelle les tyrans. Rome, en réponse à ce défi, invente l’État (status : le

20 iés sous Dioclétien. Le vide de l’âme, inoccupée, appelle les tempêtes de l’esprit. Le christianisme apporte alors un troisième

21 pe. Foyers locaux et grandes écoles continentales appellent les régions en deçà et la fédération au-delà des cadres stato-nationa

22 odèle indiscuté de tout progrès. L’Iran, comme on appelle désormais ce pays, occupe le troisième rang parmi les producteurs de

23 ette prétention du Marché commun de Bruxelles à s’ appeler l’Europe. Lorsqu’on parle de l’Europe, il faut entendre l’Europe enti

24 les dans le cadre des souverainetés nationales et appellent donc des solutions d’union continentale ou régionale. Au-delà ou en d

25 vec le territoire d’un de nos États-nations, mais appellent toujours des entités plus grandes (continentales, voire mondiales) ou

26 arriveront par la force des choses, par ce que j’ appelle la pédagogie des catastrophes. L’Europe est en danger : en 1900, elle

27 he de changer. Ce ne sont que nos désirs que l’on appelle ensuite nécessités. am. « Denis de Rougemont, ou l’Europe contre l

28 vec le territoire d’un de nos États-nations, mais appellent toujours des entités plus grandes (continentales, mondiales) ou plus

29 itions de la culture susceptibles de légitimer, d’ appeler ou au contraire de limiter strictement, voire d’interdire l’intervent

30 dices de production, mais dans ce que je voudrais appeler l’indice de l’équilibre humain. Il appartient à la culture de concevo

31 auté de créations et d’influences mutuelles qui s’ appelle l’Europe dans l’histoire de l’esprit humain. Montrer cela sans relâch

32 e envisagée. D’une manière pragmatique et globale appelons « culture » ce qui a fait de l’Europe autre chose que ce qu’elle est

33 de notre concept de culture comparé à ce que nous appelons par exemple culture congolaise, culture khmer, cultures précolombienn

34 és pour étudier méthodiquement la région que nous appelions « lémano-alpine » dans sa plus grande extension, et qui allait deveni

35 ellement menacé par un ensemble de pollutions qui appellent un ensemble de mesures préventives et curatives ; mais en l’absence d

36 ans le pays de Gex et le canton de Genève, et qui appellent d’urgence la gestion d’une autorité régionale, sous le contrôle direc

37 sticiers n’ont pas fait mieux. L’imam, comme on l’ appelle aujourd’hui, n’a pas refusé seulement nos machines et nos armes, n’a

38 is m’y obliger par souci de justice — de ce que j’ appelais « la commune mesure restaurée » des communistes russes, des nationaux

39 inalement opté, non sans drames, pour ce que j’ai appelé « l’amour-action ». Je vois tout de même une indication historique da

40 ne seconde fois, en 1972, dans ce que l’éditeur a appelé une « édition définitive » et qui, pour moi, ne l’est pas forcément.

41 u cercle vicieux que j’ai dit, alors il nous faut appeler , cultiver, promouvoir l’énergie du soleil. Voici pourquoi. La libert

42 sa bouche, et on prévoyait sans peine qu’il était appelé à remplir l’avenir qu’il a rempli. II. Le personnage tel qu’il s’

43 vues avec le nouveau prince royal de Suède, qu’il appelle dans son journal « le Béarnais ». L’ambition d’une carrière politique

44 aucoup moins quand il accepte de rédiger ce qu’on appellera les Actes additionnels aux Constitutions de l’Empire ? Il y propose e

45 de la défense de leurs foyers ; on dirait qu’ils appellent leurs foyers tous les endroits où ils ont mis le feu. Endroits qui o

46 ciété qui correspond au sens exact de ce que nous appelons aujourd’hui fédéralisme, et qu’il est le premier à nommer dans ses Pr

47 rait pratiquement vers zéro — sauf si l’esclave s’ appelle Soljenitsyne, mais alors la proposition deviendrait absurde. Évidemme

48 e la toute-puissance du « Dieu des armées » qu’on appelle si souvent à la rescousse, et pas seulement au début des guerres, car

49 ses qui posent à grands traits ce que je voudrais appeler le système de notre crise, c’est-à-dire : …les rapides et profonds b

50 e l’anthropologie, de la mythographie, etc. qu’on appelle désormais les « sciences de l’homme ». « L’homme libre et responsa

51 e dédoublent, sautent de spasmes en épilepsies, s’ appellent dans le désert. Que vient faire Claudel là-dedans ? Pas grand-chose d

52 si j’ose dire, quelque espoir, c’est ce que j’ai appelé la « pédagogie des catastrophes ». C’est-à-dire ? Des catastrophes vo

53 s derrière lesquelles nous nous cachons. Nous les appelons par exemple « impératifs économiques » ou « techniques ». Chaque pays

54 , il est clair que c’est impossible ! Votre livre appelle à la conversion. Vous nous appelez à faire passer le spirituel et l’a

55  ! Votre livre appelle à la conversion. Vous nous appelez à faire passer le spirituel et l’affectif avant le matériel et le tec

56 posé. Ce qui ressort de ce premier tri sémantique appelle les commentaires suivants : a) l’information (data + news) n’est pas

57 protestants ?) Jérémie va d’abord à Genève, qu’on appelle la Rome protestante. Mais pour des raisons inconnues il ne s’y arrête

58 auprès des pays protestants. Un beau jour il est appelé au ministère de l’Intérieur, où M. Steeg exige sa démission : n’est-i

59 a représenter. La santé politique et économique s’ appelle fédéralisme. La santé morale et civique s’appelle personnalisme. La s

60 appelle fédéralisme. La santé morale et civique s’ appelle personnalisme. La santé religieuse s’appelle œcuménisme. Essayons de

61 ue s’appelle personnalisme. La santé religieuse s’ appelle œcuménisme. Essayons de définir ces trois termes en insistant sur leu

62 la légitimité des diversités). Est-il permis d’en appeler aussi au précédent des sept Églises d’Asie, possédant chacun leur ang

63 de n’est compatible qu’avec des orthodoxies que j’ appellerai ouvertes. Elle ne peut embrasser une orthodoxie qui céderait consciem

64 fonde la communion humaine dans la liberté. Je l’ appelle personnalisme. Cherchons à illustrer les notions d’individu, de colle

65 la Religion d’Hermès ; mieux encore, je voudrais appeler ça : Les prophètes grecs. Je t’enverrai le schéma si tu le juges util

66 ujours et à jamais métaphysicien (les calvinistes appellent ça tout de suite un « gnostique », Mais tant pis pour eux). J’ai touj

67 vidu atomisé » pour reprendre les termes de Marx, appelait dans son angoisse et créait à la fois les dictatures collectivistes e

68 urs religions synthétiques, alors que la personne appelle et crée la communauté véritable, seul antidote des totalitarismes. D’