1
me individu, mais comme personne. La personne est
appelée
par un but et marche vers ce but en inventant son chemin. C’est un ch
2
ntionnels, grâce à sa géographie et à ce que nous
appelions
, déjà avant la dernière guerre, la défense en hérisson de chaque vill
3
t, dans l’infini, l’Absolu, Dieu, comme on veut l’
appeler
. Chaque homme doit inventer son chemin puisque chacun part d’un endro
4
pe 1901 en France ? C’est pour cette raison que j’
appelle
cela et je suis pour la pluralité des allégeances. Je suis pour des r
5
e pour voir se former les premiers États que j’ai
appelés
États-nations. C’est la France de Philippe le Bel, l’Espagne des rois
6
es variantes, que, dans certains cas, on pourrait
appeler
cultures nationales, interlocuteurs possibles dans le dialogue que no
7
t le seul pays au monde où la culture puisse être
appelée
non pas nationale mais stato-nationale. C’est une culture d’État-nati
8
it de cette harmonie dont parlait ce que j’oserai
appeler
le premier slogan européen, cette pensée d’Héraclite qui veut que « c
9
0 janvier 1933, contre toute attente, le maréchal
appelle
au poste de chancelier l’ancien caporal Adolf Hitler, né Autrichien,
10
ilitaires qui impliquent et acceptent donc, voire
appellent
la possibilité de la guerre. La Suisse ne pourrait participer qu’à un
11
puis ils ont poursuivi leur voyage vers le nord,
appelés
par les villes rhénanes, jusqu’aux Pays-Bas. Et de là, la nouvelle fo
12
mblé dans le « Temple de Saint-Pierre », comme il
appelle
la cathédrale jouant le rôle d’agora. Il ne cesse de désigner comme l
13
, de forme de vie, nous ne sommes pas ce que l’on
appelle
en allemand des Kongress Tiere, des « bêtes de congrès », avec leur v
14
u Centre européen de recherches nucléaires, qui s’
appelle
aujourd’hui le CERN et qui dépend de 12 gouvernements européens ; pui
15
ans mon projet de vous expliquer comment j’ai été
appelé
à écrire L’Avenir est notre affaire . Au cours de la dernière décen
16
des États-nations ; c’est un cercle carré ! J’ai
appelé
, il y a longtemps, la volonté de faire l’Europe à partir des États-na
17
ans trois directions. La première, c’est ce que j’
appelle
la pluralité des allégeances. J’ai l’habitude, je m’en excuse, de pre
18
un principe très simple qui est celui que l’on a
appelé
dans les écoles sociologiques catholiques de la fin du xixe le « pri
19
ressantes remarques critiques de M. Stanley Maron
appellent
de ma part les mises au point que voici, très brièvement formulées. 1
20
ots. Nous partions d’une idée de l’homme que nous
appelions
la personne, opposée à l’individu sans attaches, comme au milicien co
21
es délinquants de l’électronique. Je propose d’en
appeler
au Petit Frère farceur contre le sinistre Grand Frère. ⁂ Soyons séri
22
dans la mesure où cela réussit, le résultat ne s’
appelle
pas libération mais bien chômage. Qu’on m’explique pourquoi ? Et j’at
23
on. Certes, l’automatisation complète de ce qu’on
appelait
hier encore le travail à la chaîne — souvenez-vous du film de Chaplin
24
ute vie avec elle. ⁂ II. Du point de vue qu’on
appelle
réaliste aujourd’hui Le problème des centrales nucléaires n’est pa
25
éraire, en nous interrogeant sur ce que l’on peut
appeler
les classiques européens ; et dans le domaine spirituel, en rappelant
26
est. ⁂ Resserrons-nous maintenant sur ce que j’ai
appelé
la logique interne de tout débat sur le patrimoine culturel européen.
27
de l’an dernier, c’est peut-être ce que Nietzsche
appelait
de ses vœux. Laissez-moi vous citer de lui deux passages trop peu con
28
ingt ans, avec une certaine obstination, ce que j’
appelle
le Dialogue des cultures. Et pour que cela ne tourne pas à un vaste e
29
Et plus d’obstacles devant la pensée. Le Suisse s’
appelle
Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël. Il s’appelle Jakob Burc
30
la pensée. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’
appelle
Germaine de Staël. Il s’appelle Jakob Burckhardt ou, dans un autre do
31
ean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël. Il s’
appelle
Jakob Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth. Son canton —
32
ut, mais un certain groupement d’humains que nous
appelons
une société. » 15. La Confédération helvétique , Éditions du Roche
33
e peu d’écho. Nous n’étions guère que ce que l’on
appellera
plus tard des « groupuscules ». Mais nos idées maîtresses, telles que
34
s, et Jean Sylveire pour les indépendants — qu’on
appellera
plus tard gauchistes. Je me réservai introduction et conclusions. Les
35
C’est vrai, dis-je sans hésiter, mais la revue s’
appellera
désormais Commerce et industrie. » Nous passâmes à un autre sujet. J’
36
i, ou si vous le permettez, « Staro », comme on l’
appelle
dans toute l’Europe, est conservateur par sagesse, au plus beau sens
37
raître dans l’homme. Thème majeur qui implique et
appelle
deux autres thèmes qu’on retrouve dans tous les livres de Starobinski
38
s concret, actif, c’est-à-dire où le citoyen soit
appelé
à se prononcer continuellement, pas seulement lorsqu’il vote, sur des
39
ant. Mais on s’est souvent trompé sur ce que nous
appelions
l’État. On a cru que nous voulions le supprimer, et nous voulions seu
40
s Esprit d’un personnage haut en couleur, qui s’
appelait
l’abbé Plaquevent. Il avait publié deux ou trois articles sensationne
41
d’une division, comme l’atome, ce que Marx avait
appelé
la société atomisée, mais le sujet responsable de son rôle dans la co
42
hypnotise les gens. Il est sur la scène et il les
appelle
dans la salle. Il leur ordonne de faire des choses extravagantes, et
43
our tous les hommes. Moi, ça m’allait très bien d’
appeler
cela Dieu. Il n’y a qu’un Dieu pour tous les hommes. Qu’on le connais
44
es. Qu’on le connaisse ou non, il est là. Et il m’
appelle
. C’est cet appel qui crée la personne. Alors je dis qu’il faut aller
45
sion de mon « journal non intime », comme je l’ai
appelé
, parce que je tais presque tout de ma vie privée, mais décris mes rel
46
a Suisse justement — une idée de l’homme que nous
appelions
la personne, c’est-à-dire un individu à la fois libre et engagé ; dis
47
puis ils ont poursuivi leur voyage vers le Nord,
appelés
par les villes rhénanes, jusqu’aux Pays-Bas. Et de là, la nouvelle fo
48
républiques socialistes soviétiques et couramment
appelée
« Constitution de Staline ». Elle va durer quarante-et-un ans. Elle r
49
ahvé se fâche. Il vient en Eden, vers le soir, et
appelle
l’homme : « où es-tu ? » Adam et Ève se sont cachés dans les arbres.
50
t le désir de la liberté, non de la puissance. Qu’
appelez
-vous liberté ? Se réaliser soi-même, pouvoir obéir à sa vocation. Il
51
que nous respirons, est un problème mondial, qui
appelle
une agence mondiale. Les enfants comprennent très bien cela et savent
52
existent simplement pas. Vous voyez ici comment s’
appellent
et se répondent les trois thèmes principaux de mon livre : Écologie,
53
ommes afin de lui tenir compagnie. Zeus qu’Homère
appelle
parfois Europeos (qui voit très loin) est le dieu du soleil. Mon choi