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est une politique dont le principe de cohérence s’
appelle
responsabilité de la personne humaine. C’est une politique dont chaqu
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’ont retenu, éclairé, ou qui me paraissent plutôt
appeler
des objections, des compléments. ⁂ 1. Dans un raccourci brillant, And
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et une bonne dose d’humour noir — oppose ce qu’il
appelle
l’entropologie, c’est-à-dire la connaissance non de l’anthropos mais
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penser « ce doublet empirico-transcendental qu’on
appelle
l’homme ». Pour Athanase et les Pères de Nicée, il ne s’agissait pas
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onise » ? Si c’est « L’Europe des Neuf », qu’on l’
appelle
par son nom : la Communauté économique européenne, ou Marché commun.
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ns et les autres, leur donne à tous des raisons d’
appeler
ou de maudire l’union de l’Europe selon leurs préférences du moment.
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es de communes associées, et que l’on a proposé d’
appeler
des « fédérations de pays », de communes, de mini-régions. Jamais con
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es. La réaction contre l’agression industrielle s’
appelle
Écologie. La réaction contre l’agression stato-nationale s’appelle ré
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La réaction contre l’agression stato-nationale s’
appelle
région. Voilà un premier lien fondamental entre les deux réalités. Il
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à ce moment pleine et entière. L’Europe, qui ne s’
appelle
encore que la chrétienté, n’a jamais été plus européenne. II. De l
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même lorsqu’une autorité interne ou externe a été
appelée
à trancher le débat… La grande époque du Moyen Âge ne se caractérise
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fédérées. V. La tour d’anti-Babel En 1964,
appelé
à prononcer le « discours solennel » pour l’inauguration de la IIIe A
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t en train de se former sous ses yeux et que nous
appelons
aujourd’hui l’État-nation : Quand une réunion quelconque d’hommes, éc
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mes, écrit-elle, « quand cette réunion, dis-je, s’
appelle
une nation, tout lui serait permis pour se faire du bien ? Le mot de
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t mouvante, ethnolinguistique et affective, qu’on
appelait
autrefois la patrie (terre des pères) puis la nation (lieu de naissan
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ibertés provinciales, sous le prétexte qu’elles s’
appelaient
« privilèges » ; de tuer tout civisme qui puisse s’opposer aux décret
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e pour la libération de sa patrie, et n’a cessé d’
appeler
à son aide l’Europe des peuples — celle des gouvernements se bornant
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e. Mais cette nation répondra : Quand m’avez-vous
appelée
? Et la Liberté répondra : J’ai appelé par la bouche de ces pèlerins,
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avez-vous appelée ? Et la Liberté répondra : J’ai
appelé
par la bouche de ces pèlerins, et tu ne m’as pas écoutée ; va donc en
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. Citations I et II Pour illustrer ce qu’il
appelle
la naissance du fascisme en France dans « une génération de faillis,
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certaine attitude humaine. Cette attitude, qu’on
appelle
capitaliste, est, en réalité, pour qui va au fond des choses, matéria
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ald), crapules (TOB). 59. On a pris l’habitude d’
appeler
« génération des années 1930 » celle qui lança dès 1932 les revues E
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me « amoureux fous de l’Europe de la liberté » et
appellent
de leurs vœux la naissance du « citoyen européen » (qui, reconnaissen
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is un programme commun, créant ainsi ce qu’on eût
appelé
jadis une « Internationale écologiste », mais qu’il serait plus exact
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92 déjà, dans les Libri Karolini, il s’était fait
appeler
« roi des Gaules, de la Germanie, de l’Italie et des provinces voisin
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dont Bodin nous propose l’étude est « ce que nous
appelons
l’État, à savoir la nation organisée » (p. 480), ou encore : « la nat
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l’aristocratie et la démocratie : la monarchie s’
appelle
quand un seul a la souveraineté et que le reste du peuple n’y a que v
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ap. XXVII), Montesquieu parlant de l’Angleterre l’
appelle
en l’espace de 8 lignes peuple libre, cette nation (deux fois), puis
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trie vive », avait proclamé Robespierre. Louis en
appelle
à la Nation — qui a élu la Convention. Cette dernière annule « l’appe
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on de la puissance militaire. Laquelle à son tour
appelle
et favorise le développement de la technique et des recherches chimiq
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préparent donc à la guerre que les États-nations
appellent
, par leur formule même, et souvent consciemment. Dans un premier temp
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I idolâtres. 68. Le franco-provençal, parfois
appelé
burgondien, a été parlé du ixe siècle à la fin du xviiie siècle dan
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nférence de Madrid, dont les déclarations finales
appelaient
un Forum scientifique, qui a déjà eu lieu, puis ce Forum culturel. Il
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ents personnes. Ce n’est donc pas un colloque, on
appelle
cela un forum et ce n’est pas par hasard. Nous nous sommes longuement
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t, très détaillé, de M. Grossrieder, sur ce que j’
appellerai
irrévérencieusement « la langue de bois de Madrid », c’est-à-dire le
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les à celles que Nivat soulignait chez ce qu’on a
appelé
les dissidents russes — nous, nous appelions cela l’explosion antibou
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qu’on a appelé les dissidents russes — nous, nous
appelions
cela l’explosion antibourgeoise : Dada, le surréalisme et puis après
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e grand témoin. La conquête suprême de l’Europe s’
appelle
la dignité de l’homme, et sa vraie force est dans la liberté. Tel est
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oût : « Avec Mouskhély, mise au point de ce qu’il
appelle
la Marche sur Strasbourg, idée qui lui est venue et que nous discuton
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die, et cela va tellement mieux en le taisant… J’
appelle
aberration maximale de l’époque la situation présente de la « constru
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asion privilégiée de la prise de conscience que j’
appelle
? Vers quoi tend cette prise de conscience ? Qui va prendre l’initiat
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première assemblée européenne de la CEE, bientôt
appelée
— par excès d’optimisme — le Parlement européen. 88. Je retrouve des
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eu neuf années tout à fait extraordinaires, qu’on
appelle
maintenant dans plusieurs livres qui ont paru en France « les années
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t que personne, opposée à l’individu, ce que Marx
appelait
l’individu atomisé. Nous avions repris un peu de cette critique-là, t
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laquelle j’étais plus étroitement attaché, qui s’
appelait
L’Ordre nouveau , rien de commun évidemment avec le mouvement fascis
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ampagne dans mon canton de Neuchâtel, puis je fus
appelé
à Berne à l’état-major, dans la section « Armée et foyer », qui s’occ
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pe à Genève, dans une nouvelle organisation qui s’
appelait
« Rencontres internationales de Genève », et m’offrait de passer un m
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s dangers est-il exposé ? Notre mouvement, qui s’
appelait
« mouvement personnaliste », a porté toute sa réflexion sur l’homme,
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dans les années 1930 à trente-neuf, nous que l’on
appelait
« les non-conformistes des années 1930 ». C’est là le fondement de to
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re, ne serait-ce que par l’apparition de ce qu’on
appelle
« l’hiver nucléaire ». Cela on le sait. Pourquoi ? Parce que l’homme
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sujet, un homme libre et responsable, ce que nous
appelons
une personne. Donc, et là je me répète, il faut que la société soit f
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eune colonel français. Il s’agit d’un livre qui s’
appelle
La France et son armée. » L’auteur s’appelait le colonel de Gaulle. A
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ui s’appelle La France et son armée. » L’auteur s’
appelait
le colonel de Gaulle. Alors j’ai répondu par une lettre un peu humori
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n métier d’homme. Voilà la base de ce que je peux
appeler
la révolution personnaliste, à laquelle j’ai consacré non seulement b
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truit maintenant, qui a 27 km de long. Cela s’est
appelé
le Centre européen de recherches nucléaires, par analogie avec le Cen
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ingt ans. On se moquait beaucoup de nous. On nous
appelait
les « écolos », ce qui rime avec « rigolos », et cela suffisait pour