1 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
1 r que nous prolongeons une existence que nos fils appelleront douceur de vivre ? Déjà nous éprouvons que le monde a glissé dans une
2 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
2 s particulier de cette science de l’opinion qui s’ appelle la Publicité. C’est pourquoi la conversation devient parfois si diffi
3 ce vital pour un nazi risque malheureusement de s’ appeler bientôt champ de bataille, ou espace mortel. d. « Une simple questi
3 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Les résultats de la guerre (21 décembre 1945)
4 réfère en général ses vieux litiges locaux, qu’il appelle intérêts, à ses vrais intérêts, qu’il appelle utopies. La grande tâch
5 ’il appelle intérêts, à ses vrais intérêts, qu’il appelle utopies. La grande tâche politique du siècle, dans ces conditions, pa
4 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
6 e, mais seules capables de définir une politique, appellent plus que les autres un commentaire. Une guerre de retard Sous la
5 1947, Le Figaro, articles (1939–1953). Le droit d’opposition (3 avril 1947)
7 sais bien que les Russes n’aiment guère qu’on les appelle totalitaires, mais je vois aussi qu’ils n’ont jamais eu le sens de l’
8 où l’unanimité ne pourrait pas s’établir à l’ONU. Appelons donc démocratique un régime où l’opposition est libre de jouer son rô
9 gime où l’opposition est libre de jouer son rôle. Appelons ensuite totalitaire un régime où l’opposition équivaut à la trahison,
6 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
10 policier la condition de l’ouvrier d’usine, de l’ appeler dès lors « liberté » et d’exiger que les prolétaires, « spontanément