1
r que nous prolongeons une existence que nos fils
appelleront
douceur de vivre ? Déjà nous éprouvons que le monde a glissé dans une
2
s particulier de cette science de l’opinion qui s’
appelle
la Publicité. C’est pourquoi la conversation devient parfois si diffi
3
ce vital pour un nazi risque malheureusement de s’
appeler
bientôt champ de bataille, ou espace mortel. d. « Une simple questi
4
réfère en général ses vieux litiges locaux, qu’il
appelle
intérêts, à ses vrais intérêts, qu’il appelle utopies. La grande tâch
5
’il appelle intérêts, à ses vrais intérêts, qu’il
appelle
utopies. La grande tâche politique du siècle, dans ces conditions, pa
6
e, mais seules capables de définir une politique,
appellent
plus que les autres un commentaire. Une guerre de retard Sous la
7
sais bien que les Russes n’aiment guère qu’on les
appelle
totalitaires, mais je vois aussi qu’ils n’ont jamais eu le sens de l’
8
où l’unanimité ne pourrait pas s’établir à l’ONU.
Appelons
donc démocratique un régime où l’opposition est libre de jouer son rô
9
gime où l’opposition est libre de jouer son rôle.
Appelons
ensuite totalitaire un régime où l’opposition équivaut à la trahison,
10
policier la condition de l’ouvrier d’usine, de l’
appeler
dès lors « liberté » et d’exiger que les prolétaires, « spontanément