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ligner ce hiatus étrange : l’homme qu’on pourrait
appeler
le plus actif du monde, l’un de ceux qui influent le plus sur notre c
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sité. Ennui, fatigue, sommeil sans prière. Cela s’
appelle
encore vivre. Mais l’homme qui était un membre vivant dans le corps d
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de sable. Ils se réfugient dans ce qu’on pourrait
appeler
les classes privilégiées de l’esprit : fortunes oisives ou misères sa
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périls en une résultante qui est la civilisation.
Appelons
humanisme l’art de composer pour la défense de l’homme et son illustr
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cle qui consiste dans une large mesure à éviter d’
appeler
les choses par leur nom, à préférer toujours le « distingué » et le «
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gion. C’est une forme aiguë de ce que les Anglais
appellent
« sécularisme ». Ce terme qui sans doute reviendra souvent dans les c
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leusement sans jamais aucune excentricité. » Elle
appelle
ceux qui passent à l’Église romaine des « pervertis » : « Nous en avo
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s la vérité, elle, est indifférente à ce que nous
appelons
bonheur ou malheur. Et c’est la vérité seule qu’il s’agit d’attendre.
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rocs et de glace. » Sénancour éprouvait ce qu’il
appela
, d’un mot admirable, « la lenteur des choses ». C’est qu’il a pénétré
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ntisme, ceux d’un Frommel sur les écrivains qu’il
appelle
« positivistes » restent à peu près les seuls valables, à nos yeux, q
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, mais à ce dont ils ont souffert. 34. Tout ceci
appellerait
une foule de nuances. Mais il ne s’agit pas d’édulcorer. 35. Cf. A.-
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rons un doute. De quel droit refusons-nous donc d’
appeler
chrétien, un homme qui se prétendit tel en maintes occasions, de la f
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andes questions que la pensée moderne a convenu d’
appeler
« naïves », parce qu’elles sont trop gênantes. Le livre est mal compo
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dénonce le péril d’une pensée que l’on peut bien
appeler
scolastique, pensée purement conceptuelle et dépourvue d’intérêt huma
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M. Brunschvicg. L’homme en général, même si on l’
appelle
avec Marx, l’homme concret (ce qui n’est encore qu’une formule), l’ho
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goût des « romans qui posent des problèmes ». On
appelait
cela de la « littérature difficile », non pas qu’une intelligence moy
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rsonnage égoïste et, en somme, assez lâche, qu’on
appelle
l’individu. Il faut aller plus loin : les mythes collectifs n’exprime
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acte unique d’obéissance à l’ordre de Dieu, qui s’
appelle
l’amour du prochain. Je dis bien : acte, et il faut insister là-dessu
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ils disent qu’il ordonne cette soumission : ils l’
appellent
Dieu). Ce qu’il y a d’inoffensif chez l’être faible, sa lâcheté, cett
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e lâcheté se pare ici d’un nom bien sonnant, et s’
appelle
« patience », parfois même « vertu » sans plus ; « ne pas pouvoir se
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Nécessité de Kierkegaard (août 1934)t On
appelle
l’esprit… De quoi se plaint l’intelligence ? Si l’on en croit les
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réclame de l’esprit, ou qui fait profession de l’
appeler
. « Le Nouveau Testament ressemble à une satire de l’homme. Il contien
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dieux ? Mais sont-ils des faux dieux pour nous ?
Appelons
-nous vraiment l’esprit ? Mais non, nous appelons le « règne de l’espr
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Appelons-nous vraiment l’esprit ? Mais non, nous
appelons
le « règne de l’esprit », c’est bien moins dangereux ; tous en seront
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le d’une manière si touchante, et c’est ce qu’ils
appellent
l’amour.57 » Rire du solitaire, qui ressemble peut-être à la pitié én
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La loi du Créateur. Le solitaire que Kierkegaard
appelle
, c’est l’homme seul devant son Dieu. Mais comment cela se peut-il, si
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sinon par l’effet de la foi ? Il faut que Dieu l’
appelle
, qu’il le nomme et par là le sépare, autrement l’homme n’est rien qu’
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ent cette dédicace fameuse : « Au solitaire que j’
appelle
avec joie et reconnaissance : mon lecteur. » Kierkegaard savait bien
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», comme disait Nietzsche, et c’est là ce qu’ils
appellent
leur petit train-train journalier. La fameuse « vie quotidienne » n’e
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oup d’État renverse le gouvernement qui les avait
appelés
officieusement. Ils hésitent à poursuivre. L’un d’entre eux se laisse
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ralement humain. Destin allemand pourrait aussi s’
appeler
« La condition humaine ». Et plusieurs des paroles de Pillau, — les p
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a représenter. La santé politique et économique s’
appelle
fédéralisme. La santé morale et civique s’appelle personnalisme. La s
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appelle fédéralisme. La santé morale et civique s’
appelle
personnalisme. La santé religieuse s’appelle œcuménisme. Nous allons
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ue s’appelle personnalisme. La santé religieuse s’
appelle
œcuménisme. Nous allons définir ces trois termes en insistant sur leu
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aît d’une excellente méthode.) Est-il permis d’en
appeler
aussi au précédent des sept églises d’Asie, possédant chacune leur an
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de n’est compatible qu’avec des orthodoxies que j’
appellerai
ouvertes. Elle ne peut embrasser une orthodoxie qui céderait consciem
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fonde la communion humaine dans la liberté. Je l’
appelle
le personnalisme. Cherchons à illustrer les notions d’individu, de co
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casions de haine par un autre qui favorise et qui
appelle
la solidarité. Or ce changement n’adviendra pas dans le réseau des re