1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
1 ionen. Quelque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris. C’est ici l’impuissance tragique de ce conquérant victorieux :
2 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)
2 as dans son pays, une fuite, loin de ce que Ramuz appelle “le train-train d’une vie moyenne où l’exception, n’a point de part” 
3 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Rectification (9 mars 1962)
3 conférence de samedi dernier au palais de Rumine appelle deux rectifications. En effet, « l’essentiel » de mon discours ne con
4 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
4 ique à l’homme. C’est dire que l’union économique appelle une union politique, qu’on ne peut souhaiter que fédérale. L’intégrat
5 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’éloge, l’élan, l’amour, le monde ouvert à ceux qui s’ouvrent, cela existe… (2-3 février 1963)
5 urait-il pas besoin, tout simplement, de ce qu’on appelle en France la classe de rhétorique ? Je ne sens pas que ce soit aux « 
6 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
6 exprimer la part instinctive de l’homme, ce que j’ appelle son animisme. Les musiciens (comme le dit Ansermet), les peintres, le
7 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
7 rit d’édifier une tour à Sennaar, qui fut ensuite appelée Babel, ce qui veut dire confusion. Grâce à cette tour, il espérait es
8 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
8 a possibilité d’un écrivain qui mériterait d’être appelé suisse, comme Hölderlin fut sans conteste allemand ou Leopardi italie
9 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
9 nce aux signes devinés — ce qu’il faut bien que j’ appelle ici d’un terme signifiant pour moi la relation d’un homme au transcen
10 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
10 i ait jamais montré dans cet emploi ce qu’il faut appeler du génie. Et le plus libéral qu’on puisse imaginer ! La presse, depui
11 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
11 ividualisme hellénistique qui ne manqueront pas d’ appeler la tyrannie. Rome, en réponse à ce défi de l’anarchie, invente l’État
12 eux ennui, jusqu’à ce vide de l’âme inoccupée qui appelle les tempêtes et les révolutions. Le christianisme apporte alors un tr
12 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Au défi de l’Europe, la Suisse (31 juillet-1er août 1971)
13 tant que Suisse ? Dans l’Europe des régions que j’ appelle et prépare, dans l’Europe des foyers rayonnants sans frontières, rien
13 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
14 a déjà valu deux guerres mondiales. Ce qu’Illich appelle en termes marxistes « aliénation » des élèves, je préfère l’appeler «
15 marxistes « aliénation » des élèves, je préfère l’ appeler « alignement ». On aligne les esprits à l’école, comme on aligne les
14 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Merveilleux Lavaux (23-24-25 décembre 1972)
16 s artisans du livre, auteurs des textes, qu’ils s’ appellent Paul Chaudet, Claude Massy, Jean Villars-Gilles, François Debluë, Alb