1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
1 bécile qu’elle honore sur les « places » et qui s’ appelle Production, il y a lieu et ordre d’attester qu’« une seule chose est
2 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
2 (Il y avait aussi l’attitude cynique — faussement appelée esthétique, qui consistait à dire : comme elles sont bien peintes ! (
3 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
3 l parce qu’on prend au sérieux des fumistes. Nous appelons fumistes ces messieurs qui nous interrogent avec politesse sur nos in
4 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
4 us pardonne guère de faire table rase de ce qu’il appelle « l’expérience chrétienne ». Un étudiant. — Tenez, je tombe sur le
5 e : « Kierkegaard, ce prince du paradoxe, comme l’ appelle si joliment mon ami Monod. » Selon Nicodème, le terme d’existentiel n
6 à rien. Ces “ondes radioactives du Salut”, cela s’ appelle , en bonne scolastique, la grâce infuse ! et si toute notre humanité e
7 unique expérience par d’autres expériences qu’ils appellent « religieuses ». Vous voyez bien qu’ils cherchent à se rassurer, à gr
5 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
8 int cette infusio, ce principium divinum que Rome appelle grâce. Voir l’article de R. de Pury. k. « Sur une page de Bossuet (o