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visa de défendre la religion mériterait-il d’être
appelé
Judas numéro deux. Car il ne s’agit pas de professer une chose mais d
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gouvernent trop puissamment dans son âme » qu’il
appelle
les arts d’une magie maîtrisée, c’est-à-dire incarnée. La question se
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e, qu’elle soit marxiste ou nietzschéenne, elle l’
appelle
« l’arrière-monde » et le rejette, en ceci plus chrétienne, plus trag
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pression plus serrée, M. Duhamel cherche ce qu’on
appelait
jadis le morceau de bravoure, la page sur « les bruits de mon village
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te vertu qui « supprime la morale », Jouhandeau l’
appelle
imprudence ou générosité. Et ces mots ne désignent pas autre chose qu
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nal du terme, et aussi à son sens de « misère qui
appelle
». Nous ne sommes pas des « bourgeois-dégoûtés » ou des « prolétaires
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eur. Ils opposent à nos « rêveries » l’action. Qu’
appellent
-ils l’action ? Est-ce un opportunisme purement tactique, d’allure éle
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de parti, — de tout acte. C’est ce qu’on pourrait
appeler
la vision métaphysique. Tous les efforts des hommes — y compris les p
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expression de son impuissance à résoudre ce que j’
appellerais
le « problème des gens », qui est moins grandiose et beaucoup plus en
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de christianisme qu’ils ne le croient, préfèrent
appeler
révolution. Ces questions me paraissent capitales. Et je ne vois pas
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e christianisme « à bon marché » ; parce qu’il en
appelle
d’un christianisme théorique à un christianisme existentiel — ce qui
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ès grand nombre. Rendre au mot sa valeur d’appel,
appeler
sans cesse à grands cris l’univers (cette « version à l’unité »), la
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on cosmique de la parole. Comment cela ? « Le mot
appelle
, provoque en nous l’état de co-naissance qui répond à la présence sen
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des choses mêmes. » Le nom, qui désigne la chose,
appelle
un geste de l’homme pour cette chose. Le verbe, désignant ce geste, a
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e pour cette chose. Le verbe, désignant ce geste,
appelle
une phrase, un rythme d’actes concertés. Ainsi l’homme se trouve mis
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dans son cœur, et répète l’ordre qui l’a créée, s’
appelle
la parole. » Nous voici donc « chargés du rôle d’origine ». L’homme e
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de sa Semaine, Du Bartas parlant de ses mains les
appelle
, assez curieusement, d’abord : « Singes de l’Éternel » et aussitôt… «
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ève sur soi seul » tout porte à conséquence, tout
appelle
, et d’abord la parole ! Mais l’usure des mots les édente, notre langa
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ent, et des raisons toutes personnelles de ne pas
appeler
au secours. Pourtant je suis bien tranquille, je ne l’ai même jamais
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es marteaux de la forge rebâtie. Les Cavaliers, «
appelés
à faire vivre la joie dans le pays du fer, à l’époque du fer » nous o
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conclusions chagrines, au terme de calculs qu’on
appelait
alors « réalistes », et qui se bornaient à faire état des pertes maté
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omaine où Don Juan se révèle le moins dangereux. (
Appelons
ici danger ce qui peut compromettre un certain équilibre social que l
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« L’originalité du Bipède. » (C’est ainsi qu’on l’
appelait
dans ce groupe.) Gide s’éclaircit la voix pour observer que le jeu de
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Le dialogue de Personne à personne entre Dieu qui
appelle
et l’âme qui répond libère celle-ci des décrets uniformes de la moral
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auver sa peau ou pour vaincre, on s’empresse d’en
appeler
à la coutume, et l’on prétend « renouveler la tradition ». Il suffit
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ur saint Paul, le vrai moi est l’homme nouveau, «
appelé
» par un Dieu personnel, donc créé par une vocation, et il ne tombe p
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rte, les fait triompher, et c’est cet être qu’ils
appelaient
Nature parfaite. » C’est le vrai moi, c’est l’Ange. « Il ne s’agit pl
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tre, ce n’est pas seulement cette partie que nous
appelons
présentement notre personne, car cette totalité inclut également une
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e grand sommeil, lentement atteint, et qu’on peut
appeler
l’enstase. Et les mystiques chrétiens cherchent l’extase. Quant aux b
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tombement de l’âme frustrée, quand l’esprit qui l’
appelait
cesse de la diriger dans son élan vers le vrai moi ? Elle voulait l’a
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ieusement éperdus de sagesse asiatique, me paraît
appeler
deux remarques, à vrai dire d’inégale importance, et qu’on voudrait d