1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 « Le peuple, me disais-je en pédalant, ce qu’ils appellent le peuple… » ; je revoyais cette centaine d’hommes dans la salle nue.
2 t. » Cette phrase a fait dans mon esprit ce qu’on appelle un trait de lumière. Lundi dernier, au petit matin, nous nous sommes
3 et dont nous souffrons. Et il est très tentant d’ appeler cette haine : amour du peuple. Troisième constatation : la plupart de
4 à ma juste valeur. Exactement ce que Kierkegaard appelle vanité. Cependant, s’il est des plus probables que j’ai, comme un cha
2 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
5 Nous leur avons offert des boissons, et nous nous appelons par nos prénoms, sans avoir jamais bien compris nos noms de famille.
6 ée de l’automne ! The Fall, la Chute, comme ils l’ appellent … Premiers éclairs sur les prairies. Par la charmille, où il fait pres
3 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
7 rand public nous ignorait. Nous formions ce qu’on appelle avec un peu de pitié de « petits groupes d’intellectuels ». Survint l
8 s parler comme un militant : « On n’ose plus nous appeler des utopistes et des rêveurs ! s’écria-t-il. En réalité, vous êtes, n
4 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
9 Europe et sa culture (novembre 1950)f Ce titre appelle deux séries d’objections, les unes portant sur le mot Europe, les aut
10 s entrecroisées dont les trois pôles peuvent être appelés symboliquement Athènes, Rome et Jérusalem. Athènes, c’est la découver
11 et d’analyse, Athènes, Rome, et Jérusalem, cela s’ appelle aujourd’hui l’individualisme, le collectivisme et le personnalisme. L
12 é. Cette inquiétude consciente et créatrice, je l’ appellerai tout simplement : notre culture. Certes, on peut définir la culture t
13 nt de perdre la guerre fait actuellement ce qu’on appelle une névrose d’infériorité. Pourtant, les faits ne justifient pas le d
14 irai plus. Le monde moderne tout entier peut être appelé une création européenne. Pour le bien comme pour le mal, il imite à l
15 oint par hasard que ces deux grands pays semblent appeler ce procédé de description : leurs traits les plus frappants, et qu’il
5 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
16 Je cherche l’Inde. La trouverai-je à Bombay ? Il appelle un taxi, et nous voilà partis. Nous avons quitté la voiture à l’entré
6 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
17 misme, sont les vertus et les défauts typiques qu’ appelle la tolérance fédéraliste. Enquêtes sociologiques, études d’opinion et
18 ant de tels hommes qui donnent à un pays ce qu’on appelle son visage, visage bientôt « traditionnel ». On répète qu’ils exprime
19 Et plus d’obstacles devant la pensée. Le Suisse s’ appelle Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël. Il s’appelle Burckhardt
20 la pensée. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’ appelle Germaine de Staël. Il s’appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine,
21 ean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël. Il s’ appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth. Son canton — ou l’E
7 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
22 . ⁂ Tout d’abord, trois définitions. Je propose d’ appeler problème fédéraliste une situation dans laquelle s’affrontent deux ré
23 transcende les exigences de l’un et de l’autre. J’ appellerai donc solution fédéraliste toute solution qui prend pour règle de resp