1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 ement la lettre du contrat. L’Allemand préfère en appeler à la nécessité qui ne connaît plus de contrat. Difficulté de prononce
2 e que j’éprouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’horreur sacrée. Je me croyais à un meeting de masses, à quelque ma
3 de Dieu. Rendre à Dieu ce qui est à Dieu, cela s’ appelle alors du sabotage, et cela conduit au camp de concentration. Je regar
2 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
4 l s’opère la « totalisation ». Ce principe peut s’ appeler l’étatisme, à condition que l’on donne au mot son sens total. C’est a
3 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
5 le j’obéirai toujours aveuglément. Voilà ce que j’ appelle de la vraie démocratie ! » À quoi les « démocraties de l’Ouest » peuv
6 ec un sens démagogique incomparable. « Avant d’en appeler à l’opinion, dit-il, il faut que cette opinion existe. Or comment vou
7 ntends le sophisme des régimes parlementaires qui appellent « démocratie » le gouvernement du pays par des députés livrés à toute