1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 le moindre souci de se faire bien ou mal juger, m’ appelaient par mon prénom au bout de cinq minutes, et sortaient tout d’un coup a
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 illes en jupes très courtes se livrent à la danse appelée jitterbugs autour de petits marins, de soldats presque imberbes, de g
3 nge vers l’avenir cette tradition. Leurs ancêtres appelaient frontier la ligne de démarcation, sans cesse mouvante, entre les terr
4 t dans le Sud, le règne des Führers locaux, qu’on appelle simplement Boss, ou Patron. Je craignais le pire pour l’après-guerre.
5 ls infestent encore nos bars !… C’est là ce que j’ appellerai l’hypocrisie latine. (Un thème qui me paraît moins rebattu que la fam
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
6 xcusable de la presse du siècle dernier, que nous appelons le roman-feuilleton, et que je vois encore, en pleine période de dise
7 e, qui représentent, ici et là, ce qu’on pourrait appeler le mouvement littéraire en Amérique. Exemples : MacLeish et Steinbeck
8 s salles de rédaction américaines, un reportage s’ appelle une « histoire », qu’il s’agisse d’un divorce sensationnel ou de la g
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
9 ublic de marques d’affection du genre communément appelé necking 3. S’il est vrai que tout le monde s’accorde à reconnaître qu
10 bles : le mariage, ou l’affair d’un soir (car ils appellent affair tout autre chose que le business comme nous disons). Le mariag
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
11 te du monde en a besoin — ne vous contentez pas d’ appeler périodiquement l’Amérique à votre secours, quitte à la mépriser sitôt