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es Genevois et ces Francs-Comtois que nos voisins
appellent
encore parfois « les Bourguignons » —, quant à ces vieilles gens qui
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Et plus d’obstacle devant la pensée. Le Suisse s’
appelle
Jean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël. Il s’appelle Burckhardt
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la pensée. Le Suisse s’appelle Jean-Jacques. Il s’
appelle
Germaine de Staël. Il s’appelle Burckhardt ou, dans un autre domaine,
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ean-Jacques. Il s’appelle Germaine de Staël. Il s’
appelle
Burckhardt ou, dans un autre domaine, Karl Barth. Son canton — ou l’E
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urir, tous les cantons s’assemblent, les premiers
appelés
avertissant les autres. Mais avant toutes choses, ils envoient leurs
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. Leur alliance porte notamment que ceux qui sont
appelés
au secours n’useront d’aucune fraude et tromperie, ni d’excuse vaine,
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outes leurs forces, comme s’ils étaient nommément
appelés
… Ceux qui sont appelés au secours viennent à leurs dépens, sans aucun
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me s’ils étaient nommément appelés… Ceux qui sont
appelés
au secours viennent à leurs dépens, sans aucun gage. Seule l’alliance
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’une terre compartimentée, peu productive, et qui
appelle
une économie coopérative. D’autre part, ces mêmes conditions topograp
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ndant d’une grande unité d’armée suisse n’est pas
appelé
général, mais colonel commandant de corps (ou de division, ou de brig
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finissent dans leur ensemble ce que l’on pourrait
appeler
la mentalité suisse, ou l’attitude du Suisse devant la vie. Nous avon
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eterre ou en France, dit-on, la femme n’est guère
appelée
à voter qu’une fois l’an, ou moins souvent encore, lors des élections
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pas de meilleure description de ce que l’on peut
appeler
le « patriotisme suisse », mêlant le sentiment de la nature à une esp
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apitale proprement dite, et que les généraux sont
appelés
colonels : le tempérament suisse est nettement réfractaire à l’inflat