1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 différences Parlant de l’Absolu, que certains appellent Dieu, d’autres le Soi, ou le Total, ou l’Être, Ramakrishna disait : «
2 disait : « Il n’y a aucune différence, que vous l’ appeliez “Toi” ou que vous pensiez “Je suis Lui” ». S’il n’y avait « aucune d
3 apitre : « Il n’y a aucune différence, que vous l’ appeliez Toi ou que vous disiez Je suis Lui. » Nous y lisons maintenant la vra
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
4 la vie, elle exclut le fautif de la réalité, elle appelle à grands cris non point sa repentance mais le châtiment restaurateur
5 ssible : elle est responsabilité. « Vous avez été appelés à la liberté, seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte à
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
6 donner libre cours à l’énergie virtuelle que l’on appelle ainsi, au double sens du mot. C’est pourquoi je m’inquiète de voir sa
7 ions personnelles, et donc imprescriptibles. Elle appelle à la liberté dans l’obéissance de la foi. Et cette foi n’a jamais ces
8 esprit une certaine manière de penser. Ou peut l’ appeler « personnaliste », en ce sens qu’elle est l’homologue, dans les opéra
9 quoi le monde occidental, qu’on ne devrait jamais appeler « le monde chrétien » mais qui fut marqué le premier par ce signe de
10 angement de l’homme lui-même que le christianisme appelle la conversion. De même l’antinomie constitutive de la personne humain
11 n scandale inexcusable aux yeux de la foi, qui en appelle à l’esprit de l’Évangile ; mais si le Parti en fait autant, il se con
12 ur mieux imposer son jeu. 32. Ce que Kierkegaard appelle det Enkelte, le Seul, ou l’Isolé, et dont il fait sa catégorie fondam
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
13 ne se sent plus encadré ni relié, le vide social appelle un ordre autoritaire. Ici peut naître la révolution. Deux formules d’
14 recours direct de l’âme à Dieu. Mais qui peut en appeler des arrêts d’un Parti qui incarne la Révolution ? Il n’y a rien au-de
15 que leur empire sur nos esprits mesurait ce qu’on appelle bien à tort la « dé-christianisation de l’Occident ». On voit mainten
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
16 dialogue de Personne à personne entre le Dieu qui appelle et l’âme qui répond, libère celle-ci des décrets uniformes de la mora
17 auver sa peau ou pour vaincre, on s’empresse d’en appeler à la coutume, et l’on prétend « renouveler la tradition ». Il suffit
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
18 olomé de las Casas, « cet homme illustre voulut s’ appeler Colón… mû par la volonté divine qui l’avait choisi pour réaliser ce q
19 ateau rongé de vers et menacé par les Indiens, il appelle ses compagnons restés dans l’île : … moi, très seul à l’extérieur, s
20 e voix effrayée, pleurant et en grande hâte, j’ai appelé les maîtres de guerre de Vos Altesses, aux quatre vents, au secours ;
21 voir où l’on va, mauvais de rêver des voies qu’on appellera divines : fabulation du cœur de l’homme, irrépressible, mais qui peut
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
22 ar lui-même, et c’est toujours quelqu’un qui vous appelle par le moyen de ce porte-voix. Si vous courez répondre, agacé par le
23 traîne et suppose un progrès culturel (qu’il soit appelé loisir ou travail). 83. L’Encyclopédie de 1765 définit le loisir co
24 omation) c’est-à-dire de « temps vide », que l’on appelle chômage. On refuse de considérer le loisir comme le but même du machi
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
25 n garde contre les illusions de ce qu’on pourrait appeler le narcissisme culturel. Mais comment le suivre, lorsqu’il tire de l’