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lle n’est jamais venue dans ce pays que les Grecs
appellent
maintenant l’Europe, mais qu’elle passa seulement de Phénicie en Crèt
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idement la mer. Europé, se retournant en arrière,
appelait
ses compagnes et leur tendait les bras ; mais elles ne pouvaient pas
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un taureau. Quelques-uns disent qu’elle fut ainsi
appelée
, à cause de sa beauté par la ressemblance de cette fille ravie. Le ta
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cette tradition indépendante de la Grèce : nous l’
appellerons
le Mythe de Japhet. Selon saint Jérôme (346-420) dans son Liber hebra
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ssant en Italie : que c’est de là que les Grecs s’
appelèrent
Ioniens parce qu’Ion envoya des colonies sur les côtes de l’Asie Mine
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nfédéralistes » ou « unionistes » européens : On
appelle
Grecs plutôt les gens qui participent à notre éducation que ceux qui
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end de l’occident, puis jusqu’au Danube, que l’on
appelle
aussi l’Ister, qui se dirige du midi à l’orient dans la direction du
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l’extrémité de la mer Égée, l’Hellespont, la mer
appelée
Propontide, le cours du fleuve Tanaïs ; du côté de la Tramontane (le
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idore de Badajoz ou de Beja ? on ne sait, et l’on
appelle
aujourd’hui ce texte la « chronique mozarabe de 754 ») décrit la bata
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e disputant la primauté, et les deux parties n’en
appellent
(ne sauraient d’ailleurs en appeler) qu’à l’idée de chrétienté, seule
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arties n’en appellent (ne sauraient d’ailleurs en
appeler
) qu’à l’idée de chrétienté, seule commune. L’apparition d’un tiers pa
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uire au triomphe non pas du princeps unicus qu’il
appelle
, mais bien du « monstre aux têtes multiples » qu’il dénonce : le nati
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ommande, qu’un seul dirige ; et ce chef doit être
appelé
monarque ou empereur. Donc il est évident que la bonne existence du m
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septentrionale ; et le troisième groupe, que nous
appelons
maintenant les Grecs, occupa une partie de l’Europe et une partie de
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désaccord ; il est vrai que quelques-uns ont été
appelés
généralement les monarques du monde ; je ne crois pas toutefois que,
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hême ; dans une de ses lettres de créance, le roi
appelle
Antoine carbonista, charbonnier. On doit supposer que c’est cet espri
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occasion qui peut nous réserver l’honneur d’être
appelés
défenseurs et mainteneurs du nom chrétien. C’est pourquoi, dans notre
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nt affaire avec eux ne les louèrent pas, mais les
appelèrent
une horde de bandits et de tyrans, pour avoir pillé et brûlé campagne
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à l’Europe que le Turc ? Peut-être, mais on n’ose
appeler
l’union qu’en se réclamant du mythe de la croisade, levier traditionn
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terdit, en effet, que quelqu’un au monde se fasse
appeler
maître, père, ou conducteur, appellations qui doivent être réservées
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es pour ces tribunaux : le tribunal des lettrés s’
appellerait
le Conseil de la lumière, le tribunal ecclésiastique le Consistoire e
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n’a de suprématie sur les autres. Si cela peut s’
appeler
un amoindrissement de leur puissance, ce serait seulement parce que l
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ésors de diverses natures, que les Européens sont
appelés
à s’unir et à se bien entendre, pour se procurer, par des échanges fa
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cifier l’Europe et provoquer son union. Louis XIV
appela
le jeune homme à Paris, mais ne le reçut pas, les difficultés de la F
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it maintenant par les alliances, et, comme on les
appelle
, la médiation et les garanties, pourrait alors être décidé par un pou
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commerce avec cette vaste partie de l’Asie qu’on
appelle
les Indes orientales. L’argent, ce métal si utile au commerce comme s
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ans tous les temps, ce que les peuples d’Asie ont
appelé
punition, les peuples d’Europe l’ont appelé outrage. Les Tartares, dé
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e ont appelé punition, les peuples d’Europe l’ont
appelé
outrage. Les Tartares, détruisant l’empire grec, établirent dans le p
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aujourd’hui parmi les hommes. Le Goth Jornandès a
appelé
le nord de l’Europe la fabrique du genre humain : je l’appellerai plu
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rd de l’Europe la fabrique du genre humain : je l’
appellerai
plutôt la fabrique des instruments qui brisent les fers forgés au mid
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ure que de sacrer un archevêque de Cantorbéry ? d’
appeler
un Allemand transplanté chez vous « Votre Majesté » ? de ne pouvoir é
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a mode, il oppose un particularisme résolu, qu’il
appelle
« national », mais qui est en réalité local ou communal, comme on le
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reux : là, une industrie créatrice de jouissances
appelait
les richesses de tous les climats, et l’on voyait s’échanger la pourp
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nre humain dont il n’a jamais mieux mérité d’être
appelé
l’ami. C’est en effet à Jean-Baptiste, dit Anacharsis Cloots, Prussi
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plus ; il n’y aura plus qu’un seul peuple, qu’on
appellera
le genre humain. Le processus de nivellement des diversités régional
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Italia nelle tenebre L’Aurora porta la luce. Il y
appelait
les Européens à s’unir en une seule nation pour inaugurer l’ère de la
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rdre de choses par une opération politique, qu’on
appela
équilibre des puissances. L’Europe fut partagée en deux confédération
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é de vues, d’un sentiment plus étendu, qu’on peut
appeler
le patriotisme européen. C’est l’institution qui forme les hommes, di
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es magistrats et des administrateurs doivent être
appelés
seuls à composer la chambre des députés du grand parlement. Et en eff
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is de s’exprimer ainsi, de graviter vers ce qu’on
appelle
la liberté, c’est-à-dire vers cet État où le gouvernement est aussi p
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aint-Esprit ; en termes philosophiques à ce qu’il
appelle
l’en soi, le pour soi, et l’en soi-et-pour soi (« an und für sich »).
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le. Cette période de l’histoire, que nous pouvons
appeler
tragique, est celle de la décadence de la splendeur et des merveilles
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e. Mais cette nation répondra : Quand m’avez-vous
appelée
? Et la Liberté répondra : J’ai appelé par la bouche de ces pèlerins,
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avez-vous appelée ? Et la Liberté répondra : J’ai
appelé
par la bouche de ces pèlerins, et tu ne m’as pas écoutée ; va donc en
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primauté morale et civile des Italiens, que l’on
appelle
en Italie Il Primato, et qui eut un succès retentissant. Dans son tra
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peuple de réconciliation… une nation ouverte, qui
appelle
chez elle quiconque est frère ou veut l’être. De leur côté, invasion
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iendra le monde humain. La révolution de France s’
appellera
l’évolution des peuples. Pourquoi ? Parce que la France le mérite ; p
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…] Cette nation aura pour capitale Paris, et ne s’
appellera
point la France ; elle s’appellera l’Europe. Elle s’appellera l’Europ
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Paris, et ne s’appellera point la France ; elle s’
appellera
l’Europe. Elle s’appellera l’Europe au xxe siècle, et, aux siècles s
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int la France ; elle s’appellera l’Europe. Elle s’
appellera
l’Europe au xxe siècle, et, aux siècles suivants, plus transfigurée
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iècles suivants, plus transfigurée encore, elle s’
appellera
l’Humanité. L’Humanité, nation définitive, et dès à présent entrevue
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toujours davantage, donna naissance à ce que nous
appelons
les souches celte, germanique et slave. S’il y a en Europe un élément
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ernité des Peuples ; croyant : Que l’Humanité est
appelée
à procéder, par un progrès continuel et sous l’empire de la loi moral
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assise de cet immense édifice de l’avenir, qui s’
appellera
un jour les États-Unis d’Europe ! M. de Montalembert. — Les États-Un
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? Vous mettrez une petite boîte de sapin que vous
appellerez
l’urne du scrutin, et de cette boîte, il sortira, quoi ? une assemblé
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cent dans notre siècle : Il devient nécessaire d’
appeler
l’attention des gouvernements européens sur un fait tellement petit,
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glé et compris, le contrat politique est ce que j’
appelle
une fédération. FÉDÉRATION, du latin fœdus, génitif fœderis, c’est-à-
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nir dans l’opinion de son indivisible unité. Il s’
appelle
le Peuple, la Nation ; c’est-à-dire la Multitude, la Masse ; il est l
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s’étendre que progressivement. Et c’est ce qu’on
appelle
« les alliances » qui constitue manifestement le préalable d’un tel p
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durable. De ce point de vue, le système politique
appelé
« Concert européen des grandes puissances » nous vient immédiatement
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La tsarine éclairée, Catherine le Grand — comme l’
appelait
le prince de Ligne — n’était pas une menace à leurs yeux mais une ami
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es sont diverses ; néanmoins, chacun d’eux semble
appelé
par un dessein secret de la Providence à tenir un jour dans ses mains
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mande si, un jour, « la droite du communisme ne s’
appellera
pas la Russie ». Et Constantin Frantz : De même que l’influence macé
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a cessé d’être une « nation nécessaire » comme l’
appelait
un écrivain, et n’est déjà plus qu’un souvenir historique… Mais je vo
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n’y a pas bien longtemps encore toute l’Europe s’
appelait
la chrétienté, et ce mot avait sa place dans le droit public. Outre c
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position, c’est cette obligation où nous sommes d’
appeler
du nom d’Europe un fait qui ne devrait jamais s’appeler que par son p
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r du nom d’Europe un fait qui ne devrait jamais s’
appeler
que par son propre nom : Civilisation. C. Dostoïevski et la missi
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tre Russie et l’Europe, quand bien même nous nous
appellerions
slavophiles, et daignent ceux-ci ne pas s’en offusquer ! Il est inuti
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rontières naturelles » ? La géographie, ce qu’on
appelle
les frontières naturelles, a certainement une part considérable dans
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ue : Dès que l’on sait que cette époque heureuse
appelée
l’âge d’or, au sens mythique du mot, n’a jamais existé et n’existera
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uples ou des civilisations entières soient ou non
appelés
à disparaître. Il faut de grands individus et ceux-ci ont besoin de r
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abous de l’époque, ce processus européen : Qu’on
appelle
« civilisation », ou « humanisation », ou « progrès » ce qui distingu
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e qui distingue aujourd’hui les Européens ; qu’on
appelle
cela simplement, sans louange ni blâme, avec une formule politique, l
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nts recrutés en Asie, en Australie et en Afrique.
Appelés
à nous tirer de nos décombres, ils le firent, librement ou non, puis
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me répond : « Non, tu n’es pas Européen, ce qui s’
appelle
Européen ; non tu n’es pas moderne, ce qui s’appelle moderne. » Et je
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elle Européen ; non tu n’es pas moderne, ce qui s’
appelle
moderne. » Et je continue : « Et ce fait de ne te sentir ni Européen
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yeux. Les cercles qui, jusqu’à nos jours, se sont
appelés
nations, parvinrent, il y a un siècle ou à peu près, à leur plus gran
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nsi donc, quand on entend demander si ce que l’on
appelle
l’avenir appartient à la liberté, il faut répondre qu’elle a mieux :
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particulière qu’elle emprunte, c’est ce que nous
appelons
qualité. Nous autres, Européens, insistons sur la liberté parce que n
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s de son histoire, il sut user de la mesure. Nous
appelons
ces moments heureux les époques classiques. Prométhée est aussi d’une
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on (s’il la domine en création) c’est celui que j’
appelle
la personne. Et ces institutions à sa mesure, à hauteur d’homme, trad
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mais de siècle en siècle aussi, en ce lieu qui s’
appelle
l’Europe — et en ce lieu seul — des hommes courbés sous ce destin se
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r nous reste encore dans l’ombre…304 Ces textes
appellent
plusieurs réponses. Laissons d’abord un autre Anglais, le poète et cr
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cée d’assurer une relation étroite entre ce que j’
appellerais
la « constante humaine » et les circonstances extérieures éternelleme
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ratoire, etc.) sont en expansion vers Le Monde, l’
appellent
et s’en nourrissent, préparent son unité. Et elles sont seules à l’av
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la Revue de Genève , Robert de Traz (1884-1951)
appelait
l’Europe, dès 1929, à relever le défi de l’Histoire en s’unissant :
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phes et des poètes, qui leur a valu ce qu’on peut
appeler
des succès d’estime, cette idée a progressé dans les esprits par sa v
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e grand témoin. La conquête suprême de l’Europe s’
appelle
la dignité de l’homme et sa vraie force est dans la liberté. Tel est