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matiques, économiques ou démographiques. Ce que j’
appelle
le phénomène européen se signale, dans l’histoire du monde, par quelq
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on qu’on ajoute ou non à ce total la Russie qu’on
appelait
« d’Europe » (jusqu’à l’Oural et à la mer Caspienne) on obtient des c
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assise de cet immense édifice de l’avenir, qui s’
appellera
un jour les États-Unis d’Europe ! M. de Montalembert. — Les États-Uni
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…] Cette nation aura pour capitale Paris, et ne s’
appellera
point la France ; elle s’appellera l’Europe. Elle s’appellera l’Europ
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Paris, et ne s’appellera point la France ; elle s’
appellera
l’Europe. Elle s’appellera l’Europe au xxe siècle et, aux siècles su
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int la France ; elle s’appellera l’Europe. Elle s’
appellera
l’Europe au xxe siècle et, aux siècles suivants, plus transfigurée e
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iècles suivants, plus transfigurée encore, elle s’
appellera
l’Humanité. L’Humanité, nation définitive, et dès à présent entrevue
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reviviscence, en Asie et en Afrique, de ce qu’il
appelait
« les conceptions partielles ou discréditées de l’esprit européen ».
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thétique, reprenant de nos mains débiles ce qu’on
appelait
jadis « le flambeau de la civilisation » ? Là encore, je ne le distin
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s non moins dramatique dans ses péripéties, qui s’
appelleront
socialisme, marxisme, libéralisme, syndicalisme, planification, orien
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données constitutives de l’Occident, et que tout
appelle
dans le monde de cette seconde moitié du xxe siècle. Cette vocation
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notre histoire : c’est à la faire que nous sommes
appelés
. 49. En 1916, Lénine déclarait, dans L’Impérialisme, stade suprême
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la terre deux grands peuples… chacun d’eux semble
appelé
à tenir un jour dans ses mains les destinées de la moitié du monde. »