1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 matiques, économiques ou démographiques. Ce que j’ appelle le phénomène européen se signale, dans l’histoire du monde, par quelq
2 on qu’on ajoute ou non à ce total la Russie qu’on appelait « d’Europe » (jusqu’à l’Oural et à la mer Caspienne) on obtient des c
2 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
3 assise de cet immense édifice de l’avenir, qui s’ appellera un jour les États-Unis d’Europe ! M. de Montalembert. — Les États-Uni
4 …] Cette nation aura pour capitale Paris, et ne s’ appellera point la France ; elle s’appellera l’Europe. Elle s’appellera l’Europ
5 Paris, et ne s’appellera point la France ; elle s’ appellera l’Europe. Elle s’appellera l’Europe au xxe siècle et, aux siècles su
6 int la France ; elle s’appellera l’Europe. Elle s’ appellera l’Europe au xxe siècle et, aux siècles suivants, plus transfigurée e
7 iècles suivants, plus transfigurée encore, elle s’ appellera l’Humanité. L’Humanité, nation définitive, et dès à présent entrevue
3 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
8 reviviscence, en Asie et en Afrique, de ce qu’il appelait « les conceptions partielles ou discréditées de l’esprit européen ».
9 thétique, reprenant de nos mains débiles ce qu’on appelait jadis « le flambeau de la civilisation » ? Là encore, je ne le distin
10 s non moins dramatique dans ses péripéties, qui s’ appelleront socialisme, marxisme, libéralisme, syndicalisme, planification, orien
11 données constitutives de l’Occident, et que tout appelle dans le monde de cette seconde moitié du xxe siècle. Cette vocation
12 notre histoire : c’est à la faire que nous sommes appelés . 49. En 1916, Lénine déclarait, dans L’Impérialisme, stade suprême
13 la terre deux grands peuples… chacun d’eux semble appelé à tenir un jour dans ses mains les destinées de la moitié du monde. »