1
ses, et le barman du Böglerhof vous sert ce qu’on
appelle
ici un « Geist », et qu’on nomme calvados en Normandie, pflümli en Al
2
2 septembre 1974 À l’automne de 1953, j’avais été
appelé
à présider la première table ronde du Conseil de l’Europe. Elle réuni
3
me et que le bonheur ne vient pas à ceux qui ne l’
appellent
pas de toutes leurs forces. Parce que nous croyons qu’une civilisatio
4
pêcher de suivre leur cours, nous avons proposé d’
appeler
cette rencontre La Promesse du xxe siècle. Ainsi que le secrétaire
5
départ d’un chemin particulier vers le But qui l’
appelle
, qu’il le nomme Dieu ou l’Absolu, la Vérité ou le Bonheur. Le But sup
6
ologique, pour rejoindre les fins dernières qui m’
appellent
, je ne puis pas aller par la route nationale : elle conduirait au mie
7
ire. Que l’on puisse nier l’existence de ce que j’
appelle
la personne, la traiter de fantôme métaphysique, d’illusion verbale,
8
le détourner de sa vocation — et c’est cela que j’
appelle
le péché. Le problème de l’aliénation, essentiellement lié à celui de
9
n peut dire mais non pas faire. L’Europe que tout
appelle
ne pourra s’édifier que sur ce qui déborde, non seulement par en haut
10
e trouve que toute vraie politique de la personne
appelle
la création de petites communautés qui, pour défendre leur autonomie,
11
st le but le plus incompatible avec tout ce qu’on
appelle
ici « l’ordre global » ; le plus vide de sens, et le plus utopique qu