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ter à la liste, ainsi esquissée, le sien. Qui est
appelé
du reste à y occuper une place particulière, parce que sa personnalit
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l’acte de réévaluation de toutes les valeurs » s’
appelle
Révolution. Comme tous les mots qui ont beaucoup servi, le terme de r
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d, […] s’avance l’antique ennemi de l’homme. On l’
appellera
État, matérialisme, racisme ou tyrannie ; mais son essence est plus p
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art la volonté de se gouverner soi-même, ce qu’on
appelle
aujourd’hui l’autogestion, le gouvernement local indépendant, la volo
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e période intermédiaire qu’on ne sait pas comment
appeler
autrement. L’Empire romain représentait une certaine administration.
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époque par son contenu, je crois qu’il faudrait l’
appeler
l’époque des communes, des communautés de manière plus générale. Tout
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turels, ou spirituels, donc des communautés que j’
appelle
électives, les anciennes communautés étant des communautés natives. 1
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sse intime du citoyen, ce vide social, comme je l’
appelle
, sera à la fois la cause et le résultat des grands empires militaires
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la première partie du xxe siècle, que ce qu’on a
appelé
les grands ensembles, ces grands bâtiments rectangulaires, ces grands
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oir sont réunies en une série de bâtiments, qu’on
appelle
l’université. Ce sont une localité, une autorité locale ou nationale
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e ces deux maxima contradictoires. C’est ce que j’
appelle
la règle d’or de l’éducation européenne : conduire l’élève à l’autono
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ue, la langue de l’université étant le latin ; on
appelait
aussi « nations » les châteaux réservés aux chevaliers dans l’ordre d
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t l’intérêt supérieur du pays, ce que les Romains
appelaient
salus patriae, cela prime tout, et de cela je suis le seul juge ; deu
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rive ainsi à créer cette espèce d’unanimité qu’on
appellera
l’âme nationale. Tout cela fleurit vers 1880. Au début du xxe siècle
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s de la signature d’une série de traités de paix,
appelés
les « traités de banlieue ». Ces traités de banlieue ont été inspirés
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irituel dans certaines villes allemandes, qu’on a
appelé
l’anabaptisme après la Réforme ; en partie aussi, l’anarcho-syndicali
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de culture non unitaire. Paul Valéry disait qu’il
appelait
« européen » tout ce qui a été formé par Athènes, Rome et Jérusalem.
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mais quelque chose de synthétique, qu’on pourrait
appeler
l’Europe, mais qui ne le serait plus. C’est dire que le problème euro
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ant que possible, par elle-même (c’est ce qu’elle
appelle
être indépendante) en État fermé, plus ou moins autarcique. 24 avril
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e division prolongée en deux zones qu’on pourrait
appeler
de satellisation par les deux Grands, dont nous risquons de devenir a
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composition, n’aboutisse pas à ce qu’on pourrait
appeler
un court-circuit, mais pour qu’elle dure et qu’elle donne une résulta
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suisses pendant cinq siècles. 11 novembre 1966 J’
appelle
problème fédéraliste une situation dans laquelle s’affrontent deux ré
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de l’autre, en leur rendant justice au maximum. J’
appelle
ensuite solution fédéraliste toute solution qui cherche à respecter l
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ant donc de ce type bipolaire, constitue ce que j’
appellerai
maintenant la politique fédéraliste, au sens le plus large. 18 févrie
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e séparer, mais ne l’ont pas fait ; et ce qu’on a
appelé
« fédération », c’était le rassemblement nouveau de toutes les partie
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de la France. D’où les grandes fêtes qui se sont
appelées
« Fêtes de la Fédération ». C’était donc le sens unitaire, qu’il y a
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qui est seul capable d’assurer les libertés qu’on
appelle
aussi les privilèges qu’il faut maintenir, les privilèges et les libe
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ion qui devait se faire un jour. C’est la méthode
appelée
l’essentialisme : sorte d’idée platonicienne des nations, telles qu’e
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é disparaît, et on a cette sorte de cité que l’on
appelle
aujourd’hui la fourmilière, la cité des robots, où tout est complètem
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ou que nous alléguons en théorie. C’est ce que j’
appelle
le grand dilemme d’aujourd’hui, le grand dilemme auquel aucune des re
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unifier toute la France, en détruisant ce qu’elle
appelle
les « privilèges ». Il y a là un malentendu fréquent : les privilèges
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es cités dans ce qui constituera, ainsi, ce qu’on
appelle
une fédération. La tension entre liberté et responsabilité appelle do
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ation. La tension entre liberté et responsabilité
appelle
donc le fédéralisme, à la fois garant des libertés de chacun et fondé
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discours des hommes politiques ce qu’on pourrait
appeler
les mensonges de routine : expliquer pourquoi il n’y aura pas de déva
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oire, s’il n’y avait pas, à l’origine de ce qu’on
appelle
l’événement, quelque chose qui se passe dans l’esprit d’un homme — c’
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icacité à les réaliser. Ce que Denis de Rougemont
appelle
“l’hypocrisie sociale”, c’est la tendance à affirmer des buts démenti
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nts de sa tradition intellectuelle, ne cesse d’en
appeler
à ce qu’on a appelé les « droits imprescriptibles de la personne huma
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ntellectuelle, ne cesse d’en appeler à ce qu’on a
appelé
les « droits imprescriptibles de la personne humaine » ; c’est une ph
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ons asiatiques, une espèce d’homme nouvelle qu’on
appellera
plus tard le savant, qu’on appelait en Grèce le philosophe. 2. La
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uvelle qu’on appellera plus tard le savant, qu’on
appelait
en Grèce le philosophe. 2. La naissance de l’individu 14 novemb
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précisément ce passage du sacré au profane, qu’on
appelle
« sécularisation » : apprendre à juger des choses en soi et non pas s
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ntre les hommes. 11 février 1966 Dans ce que l’on
appelle
l’ère moderne, qui commence avec la Renaissance et qui va jusqu’au xi
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de l’homme en relation. C’est donc ici ce que j’
appellerai
le moment théologique dans l’évolution occidentale, le moment de l’hi
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vite à la tyrannie. Cela devient surtout ce que j’
appelle
un sentiment de vide social. L’individu qui est trop loin du pouvoir
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élègue l’État qui compte, si bien que cet homme s’
appellera
, dans le droit romain, persona. Que veut dire persona ? C’était à l’o
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voyons maintenant la révolution que l’on pourrait
appeler
judéo-chrétienne, qui crée la notion de « personne », d’homme défini
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christianisme, la vocation est un appel (vocare :
appeler
) adressé à un individu et qui le personnalise, lui donne un rôle à jo
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aussi de ce que l’École française du xxe siècle
appellera
« la personne » ; c’est-à-dire l’individu défini par son rôle dans la
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vidu totalisé et orienté par ce que les chrétiens
appellent
une vocation et les non-chrétiens un appel de l’inconscient : quelque
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donc ce type d’homme en équilibre dynamique que j’
appelle
personne et qui est le module de tout régime fédéraliste. 4 février 1
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respondrait au type de régime bien articulé que j’
appelle
le fédéralisme, est ce que toute une école de philosophes de la vie p
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deux grandes écoles politiques. Pour l’une que j’
appelle
l’école unitaire, l’idée dominante, le but dernier qui prime tout qua
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’unité forcée et uniformisée ; pour l’autre que j’
appelle
fédéralisme, la vraie finalité de la société, c’est l’homme, c’est la
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ue de puissance, par unification forcée, ce qu’on
appelle
depuis Hitler par « mise au pas ». Chacune de ces deux politiques ou
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isme et au type humain qui y correspond, que l’on
appelait
sous Hitler le soldat politique. Le soldat politique est en quelque s
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ichelet, Heine, Mazzini) ont provoqué 1848, que j’
appelle
, plutôt qu’une révolution, une première grande contestation — car j’a
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olution, une première grande contestation — car j’
appelle
« révolution » la substitution d’un ordre nouveau à un désordre établ
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e fois qu’on voyait des gens à peine armés, qu’on
appelait
les sans-culottes et qui étaient d’ailleurs de bons bourgeois de Pari
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ent contre le collectivisme, contre ce que Hitler
appelait
le « soldat politique », idéal totalitaire du citoyen complètement em