1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
1 liberté « vide », c’est l’absence de tout point d’ application possible du désir et de la volonté. Faute d’un champ d’action au moin
2 onté et de tout désir distincts de leur immédiate application . Le militant totalitaire parfait se trouve dans ce cas. Il ne peut pa
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
3 la recherche pure, et se tournant alors vers les applications . Et cela, dans un climat social et politique devenu très favorable au
4 au détriment de ses ouvriers. C’est ainsi que les applications de la science à la vie sociale, favorisées par une mystique qui tenda
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
5 le. Enfin nous constatons le rythme accéléré de l’ application sociale des inventions : il avait fallu au moins deux siècles à la co
6 e moyen des Occidentaux. Et ce sont les premières applications de cette hygiène absolument profane qui rendent compte du subit accro