1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
1 autonomie de l’individu demeure théorique, et son application est indéfiniment retardée, contrecarrée, découragée sournoisement. No
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
2 sse révolutionnaire ne comportent pas de points d’ application  », écrit Nizan. Voilà bien la suprême « évasion » de nos intellectuel
3 me et quotidien débat d’avoir un sens, un point d’ application  : la personne. Tel est, en dernière analyse, le fondement, l’enjeu de
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
4 st dans l’usage. Pas de noblesse sans usage, sans application précise aux choses, etc. Ne montons plus au ciel du second Faust que
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
5 le aussi générale que la santé elle-même ou que l’ application du principe économique du moindre effort. » C’est la fin de la phrase
6 qui fut celle de Bonaparte, n’est en somme que l’ application du style français à la chose militaire. 41. À Montmartre, il y a deu
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
7 . Tout cela sans trop de gaieté, avec une sorte d’ application . Apprentissage du civisme nouveau, avec un regard méfiant vers le voi
8 que ». On n’imagine pas en France le sérieux et l’ application qu’apportent les partisans du national-socialisme à vous expliquer le
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
9 et de la Nation) s’opposait dans le fait à toute application honnête des deux principes. D’une part, la SDN ne fut pas une fédérat
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
10 living-room, accepte un verre, et me demande avec application ce que je pense du monde et de son train. C’est un garçon d’une quara