1 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
1 ient l’air de grands joujoux ; et l’on continua d’ apprendre rosa : la rose, d’admirer le Parthénon et le courage de Mucius Scevol
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
2 ans des revues françaises ou suisses nous avaient appris à connaître les résultats considérables de l’œuvre sociale, politique
3 on père fût particulièrement importante. Il avait appris qu’il faut avoir une volonté de fer, lorsqu’on tombe dans la lie de l
3 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
4 os après-venants seront sans doute fort étonnés d’ apprendre qu’il fallait, en 1934, un courage véritable pour utiliser en philoso
5 élité » vraiment chrétienne. « Philosopher, c’est apprendre à mourir », disait le triste Cicéron, et Montaigne l’en loue. Pour M.
6 erait plus volontiers dire que philosopher, c’est apprendre à ne pas se suicider. « On pourrait même dire que la possibilité perm
4 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
7 défendre ? La biographie de Kierkegaard va nous l’ apprendre . On commencera par mettre en doute son sérieux : « Qui est le docteur
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
8 il traverse. Ce ne sont pas les journaux qui nous apprendront tout cela. Il faut lire Destin allemand, comme on lirait dans la cons
6 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
9 s comme Doxiadis, qui écrit : « L’expérience nous apprend que seules des unités de dimensions restreintes peuvent être appréhen
10 peut faciliter ce changement. Les catastrophes n’ apprendront rien à ceux qui n’ont pas vu où il faut aller, et donc n’en cherchent