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Américains n’ont en somme pas grand-chose à nous
apprendre
, et c’est là une de leurs grandes ressemblances (il y en a beaucoup)
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certaines s’universalisent. On n’a jamais autant
appris
de deuxièmes et de troisièmes langues. On n’a jamais autant traduit e
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s nos années d’études, il y a 30 à 35 ans, avions
appris
toute la chimie et n’en avions rien oublié, nous ne saurions qu’un di
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débouchés sur la connaissance. 6. Celui qui veut
apprendre
un métier pour en vivre n’a que faire de la contestation. Et celui qu
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’était justement ce qu’il cherchait, comme nous l’
apprirent
beaucoup plus tard les Fleurs de Tarbes !) Il n’avait encore publié q
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l ignore celle de sa région ? À Couvet, j’ai tout
appris
sur les Waldstätten (y compris, beaucoup de choses fausses), rien de
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— et pour cause — dans nos programmes. Moi, j’ai
appris
à lire hors de l’école, avec ma sœur. En m’amusant, et en cachette. J
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s , l’exemple de Benjamin Constant. À 5 ans, il a
appris
le grec. Sous forme de jeu9. Peut-être l’évolution en cours dans la p
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s plus faibles. Au contraire : en les aidant, ils
apprendraient
d’autant mieux. On ne sait vraiment que ce qu’on a dû enseigner. Je l
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e vous ai dit, c’est ceci, je le répète : il faut
apprendre
à penser par antinomies. Lier solitude et compagnie, rigueur et fanta
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nieuse, celle de me faire inventer le grec pour l’
apprendre
. Il me proposa de nous faire à nous deux une langue qui ne serait con
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classe unique, les aînés aidant les plus jeunes à
apprendre
à lire, à compter, à écrire en calligraphie, à parler l’anglais et l’
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rs, devenus PDG pour la plupart et qui n’ont rien
appris
depuis vingt ans, alors oui, ces déclarations seraient de nature à me
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us. […] Je ne pense pas avoir à m’excuser d’avoir
appris
pas mal de choses depuis, et d’en avoir tiré les conséquences. 2. La