1
propagande. Saluer avec joie toute possibilité d’
apprendre
à la jeunesse à estimer et à aimer les peuples pacifiques, notamment
2
l’Europe, et les très rares qui n’en sont pas ont
appris
leur métier de nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés
3
toyen, commence normalement par recevoir. Il doit
apprendre
le système des institutions et les principes sur lesquels on les a fo
4
st pas seulement lui donner des réflexes mais lui
apprendre
à réfléchir ; et ce n’est pas seulement l’introduire dans la sécurité
5
. Il doit prendre connaissance des chefs-d’œuvre,
apprendre
quand et comment ils ont été créés, dans quel contexte historique, à
6
ales, dans quel esprit. Il doit donc tout d’abord
apprendre
à voir, à lire, à écouter ces chefs-d’œuvre. Mais cet apprentissage n
7
rs compositeurs de Moscou et de Saint-Pétersbourg
apprennent
leur métier. Au début du xxe siècle, Stravinsky, Prokofiev et les Ba
8
main ferme qui assurent parfois quelque succès.
Apprendre
à lire. — Les correspondants sont honnêtes : ils disent en général ce
9
elle d’ailleurs, si l’on veut bien se rappeler qu’
apprendre
à lire à tous ne sert qu’à préparer des lecteurs aux journaux, dans q
10
certaines s’universalisent. On n’a jamais autant
appris
de deuxièmes et de troisièmes langues. On n’a jamais autant traduit e
11
d’études, il y a trente à trente-cinq ans, avions
appris
toute la chimie et n’en avions rien oublié, nous ne saurions qu’un di
12
ant le temps de la scolarité : car le métier ne s’
apprend
qu’en dehors des études. Cherchons d’abord à concevoir les vrais buts
13
qui regardent des tableaux, lisent des livres et
apprennent
une science, mais l’activité créatrice de ceux qui peignent, écrivent
14
’il soit juste d’observer que les Chinois qui ont
appris
le français, l’anglais ou l’allemand, sont au moins cent-mille fois p