1 sives lassitudes ou faim de violences — on sent l’ approche de quelque chose, catastrophe ou révélation, brusque échappée sur des

2 ravir autant que ses impertinences. À ce moment s’ approche M. Piquedon de Buibuis, qui parle toujours de Weber… Mais au fait, si

3 où j’arrivais presque à me convaincre que si je m’ approchais tout à coup par-derrière d’un homme ou d’une femme quelconque, et dis

4 est comme une initiation au silence. Il faut s’en approcher avec une douceur patiente, et le laisser créer en nous son silence pa

5 aisissante » ? Mais le plus émouvant, c’est ici l’ approche d’un silence partout pressenti, qui s’impose, qui apaise le vain déba

6 ilence soutenu, comme un appel à la rafale dont l’ approche déjà fait grésiller les notes basses du cymbalum, — et maintenant fer

7 la vie ! Je sais seulement que ma vie a un but. M’ approcher de mon être véritable. Seul au milieu des miens, j’oubliais ma race,

8 utres, dans cette vie et dans d’autres vies, pour approcher de tous côtés un But dont tu ne sais rien d’autre que sa fuite : n’es

9 0)bk Je n’ai jamais cherché rien d’autre que d’ approcher mon sujet, en m’identifiant d’aussi près qu’il m’était possible, non

10 es parts son sujet, M. Du Bos choisit des bases d’ approche parfois si éloignées, et progresse par des voies si subtiles qu’il ne

11 dégager l’élément spécifique des génies qu’elle «  approche  » : on pourrait l’appeler une critique des obstacles. Je veux dire pa