1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 hande. Les sirènes, ici, n’annoncent encore que l’ approche des richesses de la terre… ⁂ Une connaissance intime et personnelle d
2 ce vrai cœur de l’Europe, je ne m’en suis jamais approché sans ressentir une émotion que j’essaie en vain de qualifier ; elle n
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
3 rieux : tout ce qu’il veut saisir se change à son approche — Midas de l’ère prolétarienne — en fer tordu, en pierraille lépreuse
3 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
4 ont interdits. Au moment de repartir, une femme s’ approche de la portière. « Vous venez de Suisse ? dit-elle anxieuse. Est-il vr
5 dépareillés. Nous sommes ici depuis midi, la nuit approche et je ne crois plus guère au départ. S’il y avait une goutte d’eau à
6 s du bâtiment des douanes dont on nous interdit l’ approche , sauf pour le contrôle des devises et des visas, où l’on nous conduit
7 rands portiques. Et comme on aime une terre qui s’ approche , avec l’immense sécurité du continent qu’on imagine au-delà de ces fa
8 aire et neuve : la première rue américaine ! Nous approchons . Tournant la tête vers l’avant, un peu au-dessus de la poupe, je vien
4 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
9 … » Eux, c’est un certain dynamisme, une certaine approche brute, instinctive, et parfois émue de la « vie »… On ne sait trop. L
5 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
10 ’est point passé de jour qu’on n’y ait publié mon approche , mon arrivée, mes premières impressions, le programme de mes conféren
11 fait signe à trois agents « en bourgeois », qui s’ approchent les mains dans les poches de leur pardessus beige, l’air fermé. Chacu
6 1946, Journal des deux mondes. Virginie
12 tout être humain, ou animal, ou végétal, qui s’en approche trop longtemps ? Est-ce que le fait de posséder mettons deux-cents fo
13 ne femme en jaune, suivie d’un homme. Comme ils s’ approchent , on voit qu’elle tient la bride d’une main, et de l’autre porte à sa
14 e sont mis à hurler ensemble. Est-ce l’orage ou l’ approche de leur maîtresse ? Les cavaliers ralentissent et s’arrêtent devant l
7 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
15 e peut deviner si c’est le matin ou la nuit qui s’ approche . Mais chacun peut à chaque instant choisir, et s’efforcer de comprend