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à cet écho de joie dans mes pensées. Mais quelle
approche
me saisit ? Parfois, au cœur des grandes fêtes, une sphère de silence
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ilence soutenu, comme un appel à la rafale dont l’
approche
déjà fait grésiller les notes basses du cymbalum —, et maintenant fer
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la vie ! Je sais seulement que ma vie a un but. M’
approcher
de mon être véritable. Seul au milieu des miens, j’oubliais ma race,
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utres, dans cette vie et dans d’autres vies, pour
approcher
de tous côtés un But dont tu ne sais rien d’autre que sa fuite : n’es
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ssait plus grand que la terre. Des bois de pins s’
approchaient
, s’écartaient, livrant passage à la chaussée impériale dont brillaien
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c’est la « vraie vie » qui se laissera peut-être
approcher
. Début de juillet 1929 « Écrivez donc une nouvelle allemande pl
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ce vrai cœur de l’Europe, je ne m’en suis jamais
approché
sans ressentir une émotion que j’essaie en vain de qualifier ; elle n
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rieux : tout ce qu’il veut saisir se change à son
approche
— Midas de l’ère prolétarienne — en fer tordu, en pierraille lépreuse
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ne peut deviner si c’est le matin ou la nuit qui
approche
. Mais chacun peut à chaque instant choisir, et s’efforcer de mieux co