1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
1 ue tout changement de confession ramène les mêmes arguments qui retiennent l’esprit à la périphérie des vérités religieuses, là o
2 nt de force que Baring le fameux, l’irrépressible argument du bonheur, fondement pratique de la morale courante. Presque tous le
2 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
3 me de l’envergure de Goethe, s’il ne peut être un argument pour nul parti, ne saurait, pour les mêmes raisons, servir d’objet à
3 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
4 r l’appartenance à un parti, ou pour se fournir d’ arguments précis et « sérieux » qu’on exhibera dans un cercle aussi excité qu’i
4 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
5 onnaissons aussi la signification réelle. C’est l’ argument des gens en place qui, chaque fois que nous venons dire : voici ce qu
6 ent bien nous servir de refuge, de prétextes et d’ arguments au service de nos passions, au secours de notre misère matérielle. Ma
5 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
7 l s’en faut de beaucoup, de presque tout, que les arguments d’un Érasme nous apparaissent comme autant de sophismes. Non seulemen
8 ement, mais encore jusque chez les chrétiens, ces arguments se voient réinventés, admis, parfois même prêchés. Le laïcisme morali