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e franchir ce cercle enchanté où nous maintient l’
argument
du démon — le serpent qui se mord la queue. La foi au Christ est la c
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l s’en faut de beaucoup, de presque tout, que les
arguments
d’un Érasme nous apparaissent comme autant de sophismes. Non seulemen
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ement, mais encore jusque chez les chrétiens, ces
arguments
se voient réinventés, admis, parfois même prêchés. Le laïcisme morali
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oi qu’il en dise, d’ailleurs, il dit plus que ses
arguments
. On peut aller jusqu’à soutenir que s’il défendait les Soviets, il n’
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ière des choses et des êtres, on n’a pas besoin d’
arguments
pour faire sentir l’absurdité des « lois », qui pour certains intelle