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le de multiplier ces questions. Voyons plutôt les
arguments
adverses. Tous les troubadours, dira-t-on, ne furent pas dans le camp
2
te et naturelle avant le puritanisme bourgeois. L’
argument
est anachronique. Voici par contre un document de poids à l’appui de
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aussi précise que celle des troubadours ? C’est l’
argument
que les romanistes ont coutume d’opposer à l’interprétation religieus
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habituel de « refoulement ». ⁂ Reprenons ces deux
arguments
. Et tout d’abord, soulignons bien que le langage des mystiques ne sau
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ans doute des mystiques qui s’ignorent… Ainsi les
arguments
s’annulent. Nous ne savons rien des origines premières. Ce que nous a
6
ce cas, la remarque de l’abbé Paquier servirait d’
argument
contre la thèse d’Otto, et nous induirait à ranger Maître Eckhart par
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tout en se soumettant à la condamnation, c’est l’
argument
à toute épreuve du philtre. Ici, comme dans le mythe, le « Destin » s
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fugié derrière un verbiage cynique. Mais tous ses
arguments
sont transparents : ils signifient avec exactitude le contraire de le
9
ens trop bien qu’ils risquent de prendre figure d’
arguments
, à cet endroit de notre voyage, du seul fait de leur trop parfaite co
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u’elle implique193. Les humanistes reprennent les
arguments
d’un Goethe ou d’un Engels en faveur du mariage : selon le premier, i
11
s efficace pour légitimer le mariage ; et que les
arguments
les plus divers que lui opposent les meilleurs esprits demeurent abso
12
ter ce furieux ? Les incroyants sont renvoyés aux
arguments
des romantiques, qui valent contre leur moralisme ; et les croyants a
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alent contre leur moralisme ; et les croyants aux
arguments
de saint Paul, qui valent contre leur humanisme. Que dit l’Apôtre ?
14
is que le mariage ne saurait être fondé sur des «
arguments
» de ce genre. Il s’agit ici, simplement, d’un fait d’observation qui
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tinct, à mesure que l’homme se virilise : c’est l’
argument
du Dr Marañon en faveur de la monogamie. 202. Voir le remarquable es
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l’hérésie et de l’orthodoxie. Cependant certains
arguments
invoqués par M. Gilson me paraissent appeler une mise au point très o
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le » d’un Marcabru et même d’un Rudel. Mais tirer
argument
de cette crudité en faveur de la thèse sensualiste et contre la symbo
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oute communication directe de l’une à l’autre. (L’
argument
avancé me convainc peu : l’hérésie était de nature dogmatique, et sai
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prouver. Voyons les preuves, ou à leur défaut les
arguments
produits par les uns et les autres. Lorsque parut mon livre, en 1939,
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peut-être, en somme, que le substitut laïque de l’
argument
d’autorité, l’invocation du « sérieux scientifique », remplaçant cell
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Santa Gleyzia des cathares, trouve ici un sérieux
argument
: la démonstration par le fait que le procédé impliqué par cette thès
22
t livre intitulé Les Troubadours (1961 et 1971) l’
argument
de notre « tenson », inauguré par d’assez vifs assauts dans la revue
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et sociaux. Mon livre est donc devenu le premier
argument
que Les Temps modernes opposeront aux tenants d’une « nature humaine
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teur de l’Église luthérienne, et il croit que les
arguments
des protestants « supposent une raison infaillible ». (« La raison, c
25
se, mais on a le droit de tenir pour suspect tout
argument
de portée générale qui en est tiré. (Le reproche vaudrait aussi dans