1 vir une paix durable, mais de donner un répit à l’ armée russe pour renforcer ses armements. Vous pourrez juger alors vous-mêm

2 ieilles dames qui font du crochet pendant que les armées ennemies se mettent en marche. » Eh bien ! Cette phrase typique échap

3 mes, qu’il ne fait pas de la broderie, et que les armées qu’il met en marche sont plus redoutables encore que celles qu’évoqua

4 encore que celles qu’évoquait M. Reynaud, car ces armées veulent occuper bien autre chose que des terrains, elles veulent occu

5 ite de leur cité. (Quelques-uns ont trouvé dans l’ armée , et surtout, dans l’aviation, le moyen de s’expatrier sans passer les

6 es frapper. Lawrence décrit son engagement dans l’ armée de l’air comme « le meilleur équivalent moderne de l’entrée au couven

7 rés à le faire, puisque nous entretenons la seule armée solide du continent, et que nous lui consacrons une proportion de not

8 licistes », puisque ce serait fermer l’Europe aux armées rouges. Sous la double poussée de la révolte asiatique et du colonial

9 ils pas le droit et le devoir de reconstituer une armée  ? — Les Hollandais, les Belges, et surtout les Français, pensaient di

10 une « communauté de défense », c’est-à-dire d’une armée européenne, remplaçant les armées nationales. Après des mois de discu

11 est-à-dire d’une armée européenne, remplaçant les armées nationales. Après des mois de discussions d’experts, un projet de tra

12 par l’esprit polémique ? Divisions nationales, armées européennes Les 132 articles du traité prévoient des institutions

13 é prévoient des institutions communes, des forces armées et un budget commun. Ils prévoient aussi qu’aucun État membre ne recr

14 qu’aucun État membre ne recrutera plus de forces armées nationales pour son propre compte, en dehors de celles que nécessiten

15 strictement nationales seront groupées en corps d’ armée et placées à la disposition d’un état-major général, qui, lui, sera e

16 quelques détails près ?) Les généraux de corps d’ armée et d’armée pourront être choisis dans n’importe lequel des pays membr

17 étails près ?) Les généraux de corps d’armée et d’ armée pourront être choisis dans n’importe lequel des pays membres. (C’est

18 n. — Mais quel sera le pouvoir disposant de cette armée  ? Le traité prévoit un Conseil des ministres nationaux (représentant

19 ontrôle national et le contrôle démocratique de l’ Armée commune. La procédure prévue pour la mobilisation et l’entrée en camp

20 que l’on ne saurait imaginer d’autre emploi de l’ armée qu’en cas d’agression qualifiée contre un ou plusieurs des États memb

21 ture des pouvoirs politiques qui la contrôlent, l’ Armée européenne ne pourra donc servir qu’à des tâches strictement et purem

22 t et purement défensives — en cela comparable à l’ armée suisse. Arguments pour et contre la CED Comment expliquer, dans

23 égration n’étant prévue qu’à l’échelon du corps d’ armée — nous venons de le voir. — « Mais si la France n’a pas le droit d’en

24 la France n’a pas le droit d’entretenir sa propre armée , comment défendra-t-elle ses colonies ? » poursuit l’opposant. Or, le

25 va supprimer d’un trait de plume notre glorieuse armée française, en même temps qu’il réarmera l’Allemagne ! » Ici, le senti

26 és françaises auront le même statut, dans la même armée , sur la base du même traité. Si vraiment ce traité signifie la dispar

27 i vraiment ce traité signifie la disparition de l’ armée française, il empêche pour les mêmes raisons la réapparition d’une ar

28 êche pour les mêmes raisons la réapparition d’une armée allemande. C’est en vertu d’une erreur semblable que d’excellents pat

29 u’un rêve, que l’Europe n’est pas menacée par une armée allemande inexistante, mais par une expansion soviétique bien réelle,

30 isées mais non moins démoralisantes du vol à main armée . ⁂ Enfin, l’État-nation, ayant renoncé au cujus regio, ejus religio,

31 aux « partisans de la paix », qui sont ceux d’une armée et de sa politique. L’action du Congrès pour la liberté de la culture

32 e soudaine de l’ancienne Confédération devant les armées de la Révolution française, en 1798. L’essai d’unification jacobine e