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raient d’y pénétrer beaucoup mieux que toutes nos
armées
. Donc ils n’utiliseraient pas l’arme nucléaire les premiers, sans l’e
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ce puisse constituer une alternative à la défense
armée
? Je suis persuadé que la non-violence est la seule réponse vraiment
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umaine à la guerre. Faut-il dès lors renoncer à l’
armée
suisse ? Non, parce que je ne pense pas que notre défense militaire p
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urd appareil étatique — fonctionnaires, police et
armée
— sur toutes les composantes de la vie d’une nation : centralisation
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’à la Révolution française ; — guerre limitée aux
armées
: on n’essaie pas d’anéantir la population du pays ennemi, mais seule
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ulation du pays ennemi, mais seulement ses forces
armées
; — anéantissement réciproque total. Une seule manière de s’arrêter a
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’est montrée plus forte que les troupes les mieux
armées
du monde — au Vietnam. b) À stocks égaux d’armes nucléaires, les Russ
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sé la première année de la guerre mobilisé dans l’
armée
suisse, mais dès octobre 1940, je fus envoyé en Amérique où j’étais s
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1940 à 1946. Alors qu’il était lieutenant dans l’
armée
suisse, il écrivit un article jugé injurieux par les autorités allema
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mme prévu, nous dispersant dans nos pays et leurs
armées
parfois ennemies. Je fus mobilisé d’abord dans le Jura, puis attaché
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isé d’abord dans le Jura, puis attaché au service
Armée
et Foyer de l’état-major général, à Berne. C’est de là que j’envoyai
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, nomme et relève le haut-commandement des forces
armées
, ordonne la mobilisation générale, ratifie les traités, nomme et rapp
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ntesque, exige la protection de la police et de l’
armée
. C’est en quelque sorte Pluton, Dieu des enfers et de la richesse con