1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
1 tuante, qui doit coiffer d’un pouvoir politique l’ armée européenne non encore ratifiée par les parlements : — et tout cela do
2 social. Elle n’aura pas de signification humaine. Armée ou non, elle ne peut être défendue, et ne le sera pas avec le « moral
2 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
3  ». Je constate au contraire que ces problèmes (l’ armée , les colonies, l’économie) sont sans issue dans le cadre national et
4 yant refusé l’Europe au nom du pacifisme, ont une armée allemande. Les nationalistes français, ayant refusé l’Europe au nom d
5 istes français, ayant refusé l’Europe au nom de l’ armée française, ont une armée allemande. Ou à défaut d’armée allemande, po
6 usé l’Europe au nom de l’armée française, ont une armée allemande. Ou à défaut d’armée allemande, pour les uns et les autres
7 française, ont une armée allemande. Ou à défaut d’ armée allemande, pour les uns et les autres une armée russe. Les USA, qui d
8 d’armée allemande, pour les uns et les autres une armée russe. Les USA, qui dénonçaient l’Europe « impérialiste », profitent
3 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
9 vre son grand rôle historique dès l’an 1204, où l’ armée des croisés pilla sa capitale et viola son sanctuaire. Chute immense,
4 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
10 licistes », puisque ce serait fermer l’Europe aux armées rouges. Au lendemain de la chute de Diên Biên Phu et des humiliations
5 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
11 e soudaine de l’ancienne confédération devant les armées de la Révolution française, en 1798. L’essai d’unification jacobine e
6 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
12 nomme la Parabole du But. J’étais recrue dans l’ armée suisse. J’apprenais à tirer. On m’avait enseigné tous les gestes à fa
7 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
13 olonais sont actuellement en uniforme, dans trois armées belligérantes, et qu’au surplus, les descendants d’immigrés polonais
14 pétrole mexicain. Elles entretenaient parfois des armées de mercenaires indigènes et dominaient par le banditisme et la corrup
15 olontaires venus de Pologne et d’Amérique, puis l’ armée du général Anders, rentrée de Russie, si bien qu’à l’automne 1942, le
16 beaucoup d’entre eux de reprendre la lutte dans l’ armée de Sikorski. D’autre part, si l’URSS était attaquée, il importait que
17 ’un cercle d’une cinquantaine de jeunes gens de l’ Armée secrète, vêtus de longs manteaux en peaux de mouton. Retinger et un a
18 vait pauvrement, en civil, commandait en chef une armée d’un demi-million d’hommes, au nom du gouvernement de Londres. Et sub
19 wski, le futur Premier ministre. Une escorte de l’ armée secrète les entourait. On venait d’apprendre que les Allemands survei
8 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
20 ue le Luxembourg (lequel d’ailleurs a dissous son armée ). Pourquoi, dans ce cas, un Breton (ou un Sicilien, ou un Écossais ou