1 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
1 laboratoires. Les capitaines au grand cœur et les armées en bel arroi qui s’avanceraient avec une mâle vertu au-devant de la b
2 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
2 ndial. Ils partagent mon avis sur l’inutilité des armées et des flottes de l’air ou de la mer, cependant que les généraux, les
3 nt une commission parlementaire, loin de rendre l’ armée superflue, ne peut qu’augmenter l’importance des troupes de terre. C’
4 d’un des boutons : et voilà qui suppose une force armée . » Le général Marshall ajoute : « Les gens qui parlent d’une guerre p
3 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
5 lus grande puissance militaire du monde, avec son armée motorisée, son industrie prête pour la lutte, et ses 80 millions d’ha
6 ernement, qu’il est entièrement occupé par quatre armées étrangères, qu’il a perdu un tiers de son territoire à l’Est, qu’il n
4 1948, Le Figaro, articles (1939–1953). Sagesse et folie de la Suisse (13 octobre 1948)
7 plinée, traditionnelle et progressiste, neutre et armée … Il nous fait voir que tout se tient, que tout s’engrène avec nécessi
5 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
8 t neuf parmi les ruines. Les tanks soviétiques, l’ Armée rouge, la police « populaire » ont tiré sur les ouvriers qui avaient