1 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
1 ed Banner, avec la ferveur d’une évangéliste de l’ Armée du salut. Trois jours plus tôt, une dame milliardaire me déclarait pa
2 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
2 as des paragraphes, mais l’ordre de bataille de l’ armée rouge. p. Rougemont Denis de, « Lettre aux députés européens », Jo
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
3 r soit Staline, ils acceptent fort bien que leurs armées soient commandées par un Américain. On prétend même qu’ils auraient a
4 nt encore les souverainetés de nos États, quand l’ armée et l’économie n’en dépendent plus que pour la forme et le détail ? Re
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
5 uine à bref délai, les trois-cents divisions de l’ armée rouge. D’une part, on peut penser qu’au point où nous en sommes, il n
6 espoir renaissant dans le cœur des masses, aucune armée du monde ne pourra la défendre. Personne ne veut mourir, que pour des
5 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
7 uvent généreux, pourvu d’une plume qui valait une armée , et d’un mauvais esprit qui valait cent vertus. « Marchez toujours en
6 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
8 res, à partir du moment où ils disposeraient de l’ armée commune sans laquelle toute neutralité reste illusoire. L’Amérique n’
9 juge convenable. On se rappelle qu’au moment où l’ armée rouge tentait d’envahir la petite Finlande, M. Molotov déclara que ce
7 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
10 as répondre, appelant l’Europe sans chefs et sans armée , et sans même un porte-parole pour nous dire : allons-y ! pour leur d
8 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Denis de Rougemont et l’objection de conscience (30 juin 1969)
11 journée à l’Hôpital. Il l’a également exclu de l’ armée , suivant par là une récente jurisprudence du tribunal militaire de ca
9 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Objection de conscience : Denis de Rougemont répond (4 juillet 1969)
12 e, pays où il est le plus difficile de défendre l’ armée , le plus difficile de se dire objecteur, donc le plus courageux de l’
10 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
13 n religieuse. Il n’y a donc aucun conflit entre l’ armée et l’objecteur de conscience, dont l’attitude est anticonstitutionnel
14 git uniquement d’une opposition d’intérêt entre l’ armée et l’objecteur. Michel Barde. — L’opposition de l’objecteur est antic
15 celui de l’objecteur de conscience vis-à-vis de l’ armée . Bernard Béguin. — Il a été dit clairement que le conflit était plutô
16 nflit était plutôt avec la Constitution qu’avec l’ armée . Or en effet c’est l’armée qui accueille les objecteurs au moment du
17 Constitution qu’avec l’armée. Or en effet c’est l’ armée qui accueille les objecteurs au moment du recrutement, et c’est l’arm
18 s objecteurs au moment du recrutement, et c’est l’ armée qui les juge. Le colonel divisionnaire Dénéréaz a commandé la section
19 300, 200 ont une attitude positive à l’égard de l’ armée et acceptent d’être incorporés dans le service de santé. Sur la centa
20 le ce problème : défi constitutionnel et défi à l’ armée , lorsqu’il s’agit de juger ceux qui ne sont pas encore citoyens, pas
21 hérétiques. Les civils plus intolérants que l’ armée Colonel Vaucher. — Nous écoutons très longuement leurs motifs, nou
22 ème condamnation au plus tard, nous excluons de l’ armée et c’est fini. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Vous parlez de tribu
23 tribunaux civils. Je crois que dans notre pays, l’ armée et le peuple sont si intimement mêlés que vous retrouvez les mêmes pe
24 Rougemont. — Je n’ai absolument rien dit contre l’ armée en tant que telle. Je parle contre un certain état d’esprit que je tr
25 ents. Denis de Rougemont. — Effectivement, dans l’ armée je n’ai pas entendu ça. Colonel Vaucher. — Je tiens beaucoup à le dir
26 s beaucoup à le dire : nous ne représentons pas l’ armée au tribunal militaire. Nous représentons le peuple, et si le peuple s
27 chaque fois : « Vous avez le droit de critiquer l’ armée . Tout ce qu’on vous demande c’est de faire votre service. Nous ne vou
28 e conscience n’est pas quelqu’un qui trouve que l’ armée est mal faite. Il veut manifester contre la guerre. C’est un problème
29 stème militaire, tel qu’il est maintenant, avec l’ armée que nous avons, est certainement un élément positif, en dépit de la b
30 e ce n’était pas suffisant. Demain ? Nous avons l’ armée la plus nombreuse d’Europe. Ce qui est déjà un signe de puissance. Je
31 de la faire poser — , je pense finalement qu’une armée est indispensable en Suisse et que le service militaire obligatoire p
32 t la forme la plus démocratique de réaliser cette armée . J’ignore totalement si une armée de métier ou simplement des volonta
33 réaliser cette armée. J’ignore totalement si une armée de métier ou simplement des volontaires pourraient assurer cette défe
34 guin. — Est-ce qu’un service civil affaiblirait l’ armée de milice ? Colonel Vaucher. — Probablement… Beaucoup de nos concitoy
35 obligatoire, nous passerions pour une part à une armée de métier. Mais à ce moment-là, nous serions obligés de faire des con
36 tout, un système international, supranational. L’ armée que nous avons actuellement en propre nous permet en cas de conflit d
37 nous poser ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — L’ armée n’a jamais contesté l’aide au tiers-monde. Au contraire. Denis de Rou
11 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
38 mme prévu, nous dispersant dans nos pays et leurs armées parfois ennemies. Je fus mobilisé d’abord dans le Jura, puis attaché
39 isé d’abord dans le Jura, puis attaché au service Armée et foyer de l’état-major général, à Berne. C’est de là que j’envoyai