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ed Banner, avec la ferveur d’une évangéliste de l’
Armée
du salut. Trois jours plus tôt, une dame milliardaire me déclarait pa
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as des paragraphes, mais l’ordre de bataille de l’
armée
rouge. p. Rougemont Denis de, « Lettre aux députés européens », Jo
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r soit Staline, ils acceptent fort bien que leurs
armées
soient commandées par un Américain. On prétend même qu’ils auraient a
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nt encore les souverainetés de nos États, quand l’
armée
et l’économie n’en dépendent plus que pour la forme et le détail ? Re
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uine à bref délai, les trois-cents divisions de l’
armée
rouge. D’une part, on peut penser qu’au point où nous en sommes, il n
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espoir renaissant dans le cœur des masses, aucune
armée
du monde ne pourra la défendre. Personne ne veut mourir, que pour des
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uvent généreux, pourvu d’une plume qui valait une
armée
, et d’un mauvais esprit qui valait cent vertus. « Marchez toujours en
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res, à partir du moment où ils disposeraient de l’
armée
commune sans laquelle toute neutralité reste illusoire. L’Amérique n’
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juge convenable. On se rappelle qu’au moment où l’
armée
rouge tentait d’envahir la petite Finlande, M. Molotov déclara que ce
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as répondre, appelant l’Europe sans chefs et sans
armée
, et sans même un porte-parole pour nous dire : allons-y ! pour leur d
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journée à l’Hôpital. Il l’a également exclu de l’
armée
, suivant par là une récente jurisprudence du tribunal militaire de ca
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e, pays où il est le plus difficile de défendre l’
armée
, le plus difficile de se dire objecteur, donc le plus courageux de l’
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n religieuse. Il n’y a donc aucun conflit entre l’
armée
et l’objecteur de conscience, dont l’attitude est anticonstitutionnel
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git uniquement d’une opposition d’intérêt entre l’
armée
et l’objecteur. Michel Barde. — L’opposition de l’objecteur est antic
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celui de l’objecteur de conscience vis-à-vis de l’
armée
. Bernard Béguin. — Il a été dit clairement que le conflit était plutô
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nflit était plutôt avec la Constitution qu’avec l’
armée
. Or en effet c’est l’armée qui accueille les objecteurs au moment du
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Constitution qu’avec l’armée. Or en effet c’est l’
armée
qui accueille les objecteurs au moment du recrutement, et c’est l’arm
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s objecteurs au moment du recrutement, et c’est l’
armée
qui les juge. Le colonel divisionnaire Dénéréaz a commandé la section
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300, 200 ont une attitude positive à l’égard de l’
armée
et acceptent d’être incorporés dans le service de santé. Sur la centa
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le ce problème : défi constitutionnel et défi à l’
armée
, lorsqu’il s’agit de juger ceux qui ne sont pas encore citoyens, pas
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hérétiques. Les civils plus intolérants que l’
armée
Colonel Vaucher. — Nous écoutons très longuement leurs motifs, nou
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ème condamnation au plus tard, nous excluons de l’
armée
et c’est fini. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Vous parlez de tribu
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tribunaux civils. Je crois que dans notre pays, l’
armée
et le peuple sont si intimement mêlés que vous retrouvez les mêmes pe
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Rougemont. — Je n’ai absolument rien dit contre l’
armée
en tant que telle. Je parle contre un certain état d’esprit que je tr
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ents. Denis de Rougemont. — Effectivement, dans l’
armée
je n’ai pas entendu ça. Colonel Vaucher. — Je tiens beaucoup à le dir
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s beaucoup à le dire : nous ne représentons pas l’
armée
au tribunal militaire. Nous représentons le peuple, et si le peuple s
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chaque fois : « Vous avez le droit de critiquer l’
armée
. Tout ce qu’on vous demande c’est de faire votre service. Nous ne vou
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e conscience n’est pas quelqu’un qui trouve que l’
armée
est mal faite. Il veut manifester contre la guerre. C’est un problème
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stème militaire, tel qu’il est maintenant, avec l’
armée
que nous avons, est certainement un élément positif, en dépit de la b
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e ce n’était pas suffisant. Demain ? Nous avons l’
armée
la plus nombreuse d’Europe. Ce qui est déjà un signe de puissance. Je
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de la faire poser — , je pense finalement qu’une
armée
est indispensable en Suisse et que le service militaire obligatoire p
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t la forme la plus démocratique de réaliser cette
armée
. J’ignore totalement si une armée de métier ou simplement des volonta
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réaliser cette armée. J’ignore totalement si une
armée
de métier ou simplement des volontaires pourraient assurer cette défe
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guin. — Est-ce qu’un service civil affaiblirait l’
armée
de milice ? Colonel Vaucher. — Probablement… Beaucoup de nos concitoy
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obligatoire, nous passerions pour une part à une
armée
de métier. Mais à ce moment-là, nous serions obligés de faire des con
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tout, un système international, supranational. L’
armée
que nous avons actuellement en propre nous permet en cas de conflit d
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nous poser ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — L’
armée
n’a jamais contesté l’aide au tiers-monde. Au contraire. Denis de Rou
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mme prévu, nous dispersant dans nos pays et leurs
armées
parfois ennemies. Je fus mobilisé d’abord dans le Jura, puis attaché
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isé d’abord dans le Jura, puis attaché au service
Armée
et foyer de l’état-major général, à Berne. C’est de là que j’envoyai