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s, du côté d’Hitler par exemple. Staline veut une
armée
française puissante, il approuve la loi de deux ans. « Staline a rais
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disent les droites, a tort : car nous voulons une
armée
forte, mais non pas en vertu d’un conseil bolcheviste. La question se
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qui a le dernier écu. On entretient en France une
armée
qui coûte 100 millions par an ; c’est 2 milliards pour vingt ans. Nou
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tirail dispendieux, incommode et dangereux, d’une
armée
permanente, ne vaudrait-il pas mieux en épargner les frais et acheter
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t-il pas mieux en épargner les frais et acheter l’
armée
ennemie, lorsque l’occasion s’en présenterait. Un Anglais estimait un