1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 nières. Non seulement par la rébellion ouverte et armée mais par des attitudes et des conduites qui affirment la liberté de j
2 plan des faits bruts, l’Amérique nous dépasse, l’ armée russe peut encore nous écraser, et notre union s’avère bien difficile
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
3 t neuf parmi les ruines. Les tanks soviétiques, l’ Armée rouge, la police « populaire » ont tiré sur les ouvriers qui avaient
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
4 vre son grand rôle historique dès l’an 1204, où l’ armée des croisés pilla sa capitale et viola son sanctuaire. Chute immense,
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
5 licistes », puisque ce serait fermer l’Europe aux armées rouges. Au lendemain de Diên Biên Phu et des humiliations de Genève,
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). De gauche à droite (mars 1955)
6 étant destinée à provoquer la « création » d’une armée russe (que l’on croyait depuis longtemps glorieuse) — si cela mène à
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
7 uvent généreux, pourvu d’une plume qui valait une armée , et d’un mauvais esprit qui valait cent vertus. « Marchez toujours en
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
8 rage de dénoncer ce parti ; donc neutre entre une armée et un point de vue ; que dis-je, entre la maladie et le diagnostic !
9 0 % de son budget national pour l’entretien d’une armée défensive. Rien de glorieux dans tout cela, peu d’idéal, beaucoup de
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
10 tée d’un pouvoir fédéral, d’un Parlement et d’une armée . Une neutralité « à la suisse » n’aurait donc aucun sens avant l’unio
11 uellement au contact, « désengageons » les forces armées des blocs et le tour sera joué. Ce fut d’abord l’idée d’Eden. Un peu
12 enacés. Selon le plan Bevan, il n’y aurait plus d’ armées (européenne, américaine ou nationales) pour s’opposer à ces remises a
13 dupés, pourra-t-on leur cacher longtemps que nos armées nationales ne paient plus ?) Reste ma seconde question. Supposons l’u
14 nces de l’Europe et de la paix ? Unie, neutre, et armée , l’Europe indépendante deviendrait le plus grand des Grands occidenta
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
15 établissent la liberté, mais la force brutale des armées étrangères. On me dira que tout le monde le sait, mais je vois que pe
10 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
16 i de son Économie, puis le héros numéro un de son Armée . À la faveur de ces spectaculaires changements d’icônes, qui occupent
11 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
17 ux ou trois heures, aujourd’hui. Et s’il faut une armée pour veiller sur la sécurité du district fédéral, n’oublions pas que
12 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
18 ardé d’un côté par des sentinelles est-allemandes armées et casquées, il l’est avec non moins de vigilance par la bonne consci
13 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
19 es autorités sont placées sous la protection de l’ armée suisse : un million de mobilisables et le réduit national des Alpes,
14 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
20 urg, Sandys fit le premier discours demandant une armée européenne, suivi par son beau-père sur le même thème. 162. « Mais q