1 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
1 u’il était, à la fin de la guerre, caporal dans l’ armée allemande. Son idéologie n’a rien de personnel, c’est l’idéologie des
2 sonnel, c’est l’idéologie des petits gradés d’une armée vaincue. L’hypothèse est séduisante, vraisemblable même. Que répondra
2 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
3 naire, ou statique, la politique de la contrainte armée , de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarchie) sociale imposée. C
3 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
4 agine volontiers que la force, c’est la police, l’ armée et la colère des masses. Mais qui dirige la police, qui rassemble une
5 ses. Mais qui dirige la police, qui rassemble une armée , qui la paye ? Qui excite et ordonne la révolte des masses ? C’est to
6 tuel-là vienne à faiblir, à douter de lui-même, l’ armée n’est plus une arme entre les mains des gouvernants. Tout régime, si