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r soit Staline, ils acceptent fort bien que leurs
armées
soient commandées par un Américain. On prétend même qu’ils auraient a
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nt encore les souverainetés de nos États, quand l’
armée
et l’économie n’en dépendent plus que pour la forme et le détail ? Re
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uine à bref délai, les trois-cents divisions de l’
Armée
rouge. D’une part, on peut penser qu’au point où nous en sommes, il n
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espoir renaissant dans le cœur des masses, aucune
armée
du monde ne pourra la défendre. Personne ne veut mourir, que pour des