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les belles synthèses de la théologie libérale ? L’
arrière-plan
de bourgeoisie et d’optimisme culturel sur lequel, trop souvent, elle
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s sur le destin de la race blanche, qui forment l’
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idéologique de son œuvre. Leurs manières de décrire des combats où, e
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ans doute assez pour faire entrevoir au lecteur l’
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et les prolongements de l’aventure du « vieux Pragois », héros non to
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e protestante. Mais il y a bien davantage que cet
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poétique, et ces exemples d’une morale parfois scandaleusement antibo
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it au Pavillon de la Suède éclaire à sa façon les
arrière-plans
de ce miracle : « Il y a mille ans que le peuple suédois est son prop
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nous tentent maintenant : l’une remonte vers les
arrière-plans
historiques et religieux du mythe, — l’autre descend du mythe jusqu’à
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e indo-européen se dessine comme en filigrane à l’
arrière-plan
des hérésies du Moyen Âge. Si nous embrassons le domaine géographique
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r s’il n’y avait que cela, ce serait alors tout l’
arrière-plan
religieux de la légende qu’il faudrait nier ou négliger, en dépit de
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olence sauvage de la légende, et encore moins son
arrière-plan
ésotérique. Ce qui revit en lui, c’est l’état d’âme créé chez les imi
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culture profonde et populaire, et plus encore, un
arrière-plan
spirituel, des assises religieuses fondant une unité si intérieure à
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nous tentent maintenant : l’une remonte vers les
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historiques et religieux du mythe, — l’autre descend du mythe jusqu’à
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e indo-européen se dessine comme en filigrane à l’
arrière-plan
des hérésies du Moyen Âge. Si nous embrassons le domaine géographique
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sives mais qui se superposent ou se combinent à l’
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de nos conduites élémentaires ; de complexes ignorés mais d’autant pl
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re ces deux extrêmes illustrés par le mythe sur l’
arrière-plan
psychique et religieux du xiie siècle, toutes les confusions de l’am
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r s’il n’y avait que cela, ce serait alors tout l’
arrière-plan
religieux de la légende qu’il faudrait nier ou négliger, en dépit de
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olence sauvage de la légende, et encore moins son
arrière-plan
ésotérique. Ce qui revit en lui, c’est l’état d’âme créé chez les imi
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nous tentent maintenant : l’une remonte vers les
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historiques et religieux du mythe, — l’autre descend du mythe jusqu’à
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e indo-européen se dessine comme en filigrane à l’
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des hérésies du Moyen Âge. Si nous embrassons le domaine géographique
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sives mais qui se superposent ou se combinent à l’
arrière-plan
de nos conduites élémentaires ; de complexes ignorés mais d’autant pl
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re ces deux extrêmes illustrés par le mythe sur l’
arrière-plan
psychique et religieux du xiie siècle, toutes les confusions de l’am
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r s’il n’y avait que cela, ce serait alors tout l’
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religieux de la légende qu’il faudrait nier ou négliger, en dépit de
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olence sauvage de la légende, et encore moins son
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ésotérique. Ce qui revit en lui, c’est l’état d’âme créé chez les imi
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ent maintenue dans la cité. Il faut connaître cet
arrière-plan
pour donner tout leur sens à certains incidents de la vie politique a
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ccidentale. L’une, ignorée ou reniée, demeure à l’
arrière-plan
lointain, l’autre, voilée, attend à l’horizon de tout amour digne du
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ccidentale. L’une, ignorée ou reniée, demeure à l’
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lointain, l’autre, voilée, attend à l’horizon de tout amour digne du
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ccidentale. L’une, ignorée ou reniée, demeure à l’
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lointain, l’autre, voilée, attend à l’horizon de tout amour digne du
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qui manque à ces tentatives dispersées, c’est un
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spirituel commun (œcuménisme), et une vision précise des liens nécess
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vision précise des liens nécessaires unissant cet
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aux réalités morales et politiques (personnalisme). Point d’action co
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culture profonde et populaire, et plus encore, un
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spirituel, des assises religieuses fondant une unité si intérieure à
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culture profonde et populaire, et plus encore, un
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spirituel, des assises religieuses fondant une unité si intérieure à
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ent maintenue dans la cité. Il faut connaître cet
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pour donner tout leur sens à certains incidents de la vie politique a
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jourd’hui, repoussant tous ces anciens débats à l’
arrière-plan
, il y a le totalitarisme, et il y a le fédéralisme. Une menace et une
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ourd’hui — repoussant tous ces anciens débats à l’
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— il y a le totalitarisme, et il y a le fédéralisme. Une menace et un
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a pas. L’idée de la guerre possible est devenue l’
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de tous nos projets dans ce siècle. — Qu’est-ce que la guerre ? m’a d
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se, se voit automatiquement « mise à l’index ». L’
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de cette étrange mentalité, c’est la croyance en la neutralité-tabou.
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implication militaire ou politique ne menace à l’
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. Jusqu’à quel point ces distinctions sont-elles réelles dans l’ère de
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iste seraient demeurés impensables sur tout autre
arrière-plan
que celui de la dogmatique chrétienne, car ils ne représentent en réa
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ives, mais qui se superposent ou se combinent à l’
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de nos conduites élémentaires ; de complexes ignorés, mais d’autant p
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rist »… Tous ces motifs éclairent diversement les
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d’un fait irréfutable : c’est l’Europe seule qui a découvert la Terre
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iste seraient demeurés impensables sur tout autre
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que celui de la dogmatique chrétienne, car ils ne représentent en réa
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tellement facile de dire, la même foi dominant l’
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millénaire sur lequel se détache la dignité de l’homme. 4. Quantité
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tellement facile de dire, la même foi dominant l’
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millénaire sur lequel se détache la dignité de l’homme. 4. Quantité d
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es oppositions idéologiques, figées et pâlies à l’
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. Aux yeux des peuples du monde entier, la carte des grandes masses qu
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ue chez l’Occidental il est masqué et relégué aux
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de la conscience par un sentiment de culpabilité d’ordre moral. Les r
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et sa bonhomie sensuelle, plus encore que par son
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mystique, presque bouddhiste, et par cet horizon de délivrance que dé
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les deux solaires par excellence. À la vérité, l’
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du mythe grec est sémitique. Il se situe dans un complexe assyrio-héb
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gures isolées, qui avaient su voir l’Europe sur l’
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du Monde : Leibniz, Vico. Puis il y eut le siècle français par excell
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der, Görres, Hegel, et Schelling surtout. Sur cet
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très complexe va se développer le grand débat des slavophiles et des
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but est en effet de fournir à l’homme moderne un
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historique et de quoi se former une conception du monde. Mais, même à
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lle devient compréhensible si on la replace sur l’
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de la téléologie de l’histoire européenne, philosophiquement interpré
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ime croisade et délivrer Jérusalem. C’est tout un
arrière-plan
de foi religieuse, de chances et de malchances géographiques, d’ambit
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es et quelques-uns de nos slogans, mais non pas l’
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religieux, philosophique et culturel qui a permis non seulement les s
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ime croisade et délivrer Jérusalem. C’est tout un
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de foi religieuse, de chances et de malchances géographiques, d’ambit
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es et quelques-uns de nos slogans, mais non pas l’
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religieux, philosophique et culturel qui a permis non seulement les s
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aphysique chez un Dostoïevski et un Kafka ou de l’
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de compétition sociale chez un Balzac et un Stendhal. Ces traits sont
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e protestante. Mais il y a bien davantage que cet
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poétique, et ces exemples d’une morale parfois scandaleusement antibo
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qui manque à ces tentatives dispersées, c’est un
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spirituel commun (œcuménisme), et une vision précise des liens nécess
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vision précise des liens nécessaires unissant cet
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aux réalités morales et politiques (personnalisme). Point d’action co
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ives, mais qui se superposent ou se combinent à l’
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de nos conduites élémentaires ; de complexes ignorés, mais d’autant p
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un monde à ce point transformé demeure posée à l’
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. Essayons de la serrer de plus près. 70. À part le bref épisode, vi
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ces chez les Brontë et chez Thomas Hardy, ou de l’
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de fanatique compétition sociale chez un Balzac, un Stendhal ou un Pr
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tellement facile de dire, la même foi dominant l’
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millénaire sur lequel se détache l’idée de la personne, d’une certain
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t renoncé à y mettre faute de mots… Et surtout, l’
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religieux (voire pour moi théologique, à cette époque) de ma « Légend
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ourd’hui — repoussant tous ces anciens débats à l’
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— il y a le totalitarisme, et il y a le fédéralisme. Une menace et un
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ividuel de la passion n’est jamais séparable de l’
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social, de même que le moment mystique ne peut se détacher que sur un
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t renoncé à y mettre faute de mots… Et surtout, l’
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religieux de ma « Légende dramatique » est révélé tantôt par un lyris
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resse occidentale, attendons-nous à retrouver, en
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et couvrant tout, l’idée de croissance absolue, comme vrai référentie
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ourd’hui — repoussant tous ces anciens débats à l’
arrière-plan
—, il y a le totalitarisme, et il y a le fédéralisme. Une menace et u
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outes, les mêmes mythes ou la même foi dominant l’
arrière-plan
millénaire sur lequel se détachent l’idée de la personne, la lutte co
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nnelle d’un auteur Et maintenant, laissant à l’
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l’histoire d’un réfugié qui dans un petit État fait naître et rayonne
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qui manque à ces tentatives dispersées, c’est un
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spirituel commun (œcuménisme), et une vision précise des liens nécess
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vision précise des liens nécessaires unissant cet
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aux réalités morales et politiques (personnalisme). Point d’action co
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is renoncé à y mettre faute de mots… Et surtout l’
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religieux de ma « légende dramatique » est ici révélé, tantôt en maje
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outes, les mêmes mythes ou la même foi dominant l’
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millénaire sur lequel se détachent l’idée de la personne, la lutte co
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globe, y suffirait très largement.) Tel étant l’
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général de crise et donc d’urgence (pour dire le moins) de toute étud