1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
1 ssus de la plus dégradante condition, et nous n’y arriverons que par un travail d’éducation lent et souvent dangereux. Vous, étudi
2 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
2 s menaient en eux-mêmes loyalement. Et ce désir d’ arriver à quelque chose de définitif à la fois et d’intelligent, je le mesure
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
3 tous les plaisirs, cette envie de rire quand il m’ arrivait un ennui, cette incapacité à jouir de mes victoires, à pleurer sur me
4 rable. Je ne recevrai pas une foi, mais peut-être arriverai -je à la vouloir, et c’est le tout. S’il est une révélation, c’est en
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
5 n câble de navire qu’on serre sur un treuil. Elle arriva avec emphase à la cime de son spasme, comme l’homme à la cime de son
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
6 vous présente Conrad Meili, un Zurichois qui nous arriva de Genève il y a de cela cinq ou six ans. Il peignait alors des natur
6 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
7 de cette phrase célèbre. Ensuite, je pensai qu’il arrive aux meilleurs de se répéter, et que c’était la première fois de la so
7 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
8 oir tel qu’il est parmi les autres. Mais s’il lui arrive de prendre son image pour celle de n’importe quel passant, il se sent
8 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
9 qui se promènent tout seuls… Et puis, il lui est arrivé quelque chose de terrible, où il a perdu son âme. Et puis il n’est re
9 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
10 volonté qui l’oriente vers certains états dont il arrive que la gratuité apparente nous fascine. Un fantôme ne manifeste rien