1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 vivent, aux moments les plus purs d’un drame, il arrive qu’on voie transparaître en filigrane cette forme mythique. Comme une
2 du terme ce qu’il veut dire sans le dire. Il lui arrive de composer en un seul geste ou une seule métaphore à la fois l’expre
3 me donna le jour en expirant, la vieille mélodie arrivait aussi à leurs oreilles, languissante et triste. Elle m’a interrogé un
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
4 on, et un autre d’égale durée lui succédait. « Il arrivait fréquemment, nous dit Rahn, que les cathares, après la réception du C
3 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
5 quivoque traduction de la mystique courtoise. (Il arrive que les situations les plus apparemment « mystiques » du Roman doiven
6 e. Ô Dieu ! que notre misère est grande ! Il nous arrive comme à ces animaux venimeux qui changent en poison tout ce qu’ils ma
7 ifférents la même chose : il faut que le mystique arrive « à se passer du don », à ne plus le désirer pour lui-même. Dans le m
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
8 fatal : Et pour que mon martyre au port jamais n’ arrive Mille fois chaque jour je meurs, mille je nais…125 (Sonnet 164.) Ai
9 s mal, — se rapprochant du modèle primitif — l’on arrive à Jean-Paul, à Hölderlin, à Novalis. Dans la panique de la Révolution
10 s rationalistes malgré eux, pour ces athées qui n’ arrivent point à croire à leurs chimères les plus consolantes, l’amour ne sera
5 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
11 es en achetant d’un bloc son armée. Quand ils n’y arrivaient pas, il fallait se résoudre à batailler. Mais une bataille, dit Machi
6 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
12 actuelles qui fondent notre fidélité. Quoi qu’il arrive , heur ou malheur, le sort du monde nous importe bien moins que la con
7 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
13 d dans le dépassement du « stade éthique » ? Il m’ arrive de le pressentir, et de penser : du point de vue de la foi, il n’y a