1 1947, Vivre en Amérique. Avertissement
1 rt d’être agent de liaison, Européen quoi qu’il m’ arrive , et persuadé que l’amitié des deux nations doit se nouer dans l’échan
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 onvoque à Washington, on examine son projet et il arrive qu’on le charge officiellement de le réaliser. Nombreux sont les prof
3 e ordinairement une situation dont notre esprit n’ arrive pas à se former une image claire et cohérente. (Pour un esprit infini
4 parle d’égoïsme et d’hypocrisie puritaine. Et il arrive même, trop souvent, que l’on parle des deux à la fois. Je voudrais in
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
5 nal. Ceci me paraît très important. En France, il arrive trop souvent que le débat réel reste mal défini, les positions des pa
6 e. « Venez très tôt, vous aurez une surprise. » J’ arrive très tôt et ne trouve qu’un géant, Robert Sherwood, le dramaturge et
7 isse d’une rhétorique américaine I Je venais d’ arriver à New York. « Ne prenez pas la peine d’écrire pour eux, me dit l’un d
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
8  ; ou simplement la permission de se remarier. Il arrive que le nouveau mariage ne soit séparé du divorce que par le temps de
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 est plus lent que le Français. L’homme d’affaires arrivé se reconnaît à un signe infaillible : il a le temps. Le temps de vous
10 e sait ce qu’il veut, il essaie un peu tout, il n’ arrive pas à se fixer. « Avoir fait tous les métiers » est un éloge à leurs
11 parle et ceux qui écoutent.   Bien écrire. — Il arrive très souvent qu’un éditeur américain réponde à l’écrivain qui lui a s
12 gne à Paul Valéry. Tandis qu’en Amérique, il vous arrive souvent de vous sentir seul au monde en connaissant tout le monde. La