1 Seuls, les auteurs de cette seconde famille m’ont arrêté , pour me faire repartir dans mon sens. Et c’est l’une des raisons de

2 ns dans l’obéissance et dans la foi, l’histoire s’ arrêterait comme la respiration d’un homme saisi par la beauté, et le temps immo

3 eph K., fondé de pouvoir dans une banque, se voit arrêté un beau matin par deux inspecteurs. Ces messieurs lui apprennent qu’i

4 au plus dans une autre vision, celle de l’homme «  arrêté  », précisément, celle de l’homme qui pense et qui vit dans la suspens

5 amais qu’une liberté provisoire. Nous sommes tous arrêtés , il vaudrait mieux le savoir : car nous saurions alors que réellement

6 partir du point précis où la vision de Kafka « l’ arrêtait  ». « Nul ne vient au Père que par moi ». C’est par le Fils que Dieu d

7 instant de la conversion. Cette vision de l’homme arrêté pourrait être un regard en arrière vers l’humanité en révolte et qui

8 ue d’un croyant-malgré-tout. Kafka l’isole et s’y arrête avec une sorte d’honnêteté méticuleuse, ironique et désespérée. II

9 défiance d’une symétrie où l’on serait tenté de s’ arrêter …) Faute d’un « jugement » que ces 1300 pages s’appliquent à dénoncer

10 ux l’intrigue d’un roman bourgeois. On s’est trop arrêté à l’insolite du style chez Ramuz. Ce qu’il a d’insolite, ce n’est poi

11 peut. Opération inverse de celle du poète : on s’ arrête à l’acceptation neutre, la moins active, la plus anecdotique — rompan

12 La parole de raison qui distingue les choses, les arrête et les identifie, apparaît comme une délivrance, une victoire sur le