1 prairies où notre adolescence encore « marche, s’ arrête et marche, avec le col penché »… Contribution à l’archéologie des éta

2 s grandes fêtes, une sphère de silence descend, s’ arrête quelques secondes, et ceux qu’elle baigne d’une grâce furtive sont pr

3 espéré de l’aube, — et nous, au bord du péristyle arrêtés , au bord de la nuit qui nous possède encore, nous assistons au miracl

4 ésir de perdition illimitée… Les Hongrois se sont arrêtés dans cette plaine. Mais c’est le soir au camp, perpétuel. Une lassitu

5 dans leurs petits sweaters — vais-je pour vous m’ arrêter quelques jours ? On ferait connaissance à table d’hôte, on irait ense

6 (une sorte de cauchemar pensé, qui ne peut plus s’ arrêter de penser). Se peut-il qu’on cherche le sens de la vie ! Je sais seul

7 rain ralentit. Hegyeshalom, petite gare frontière arrêtée au milieu de la plaine à l’heure A, — l’heure des arrivées et des adi

8 perds les clefs de tes valises… (Cela encore : m’ arrêter à Vienne à cause des serrures. Peut-être y passer une nuit — rôder à

9 de la plaine. Des prairies doucement soulevées s’ arrêtaient au bord du ciel, devant la lumière maritime ; puis cédaient de l’épau

10 nant compte de tout ce qui bouge. Il importe de s’ arrêter longuement sous tous les prétextes, de secouer sa pipe quand les dern

11 der, à Terre-Neuve. Une aurore boréale nous avait arrêtés , non point que sa beauté nous eût cloués sur place, mais parce qu’ell

12 rejoindre en moi leur image. Un jour, il faudra s’ arrêter , passer une nuit, se réveiller dans ce village où je suis né ; mesure

13 aisance. Cette émulation par le bas pourrait être arrêtée par les instituteurs. Il suffirait de renverser la mode, et de statue