1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 sse librement parcourir ; mais par le moyen d’une ascèse soumettant le corps et le mental à l’âme, donc délivrant celle-ci des
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
2 ie » chrétienne. Et ce n’est pas une méthode, une ascèse , un système, ce n’est pas le cours d’un astre, tracé par d’autres ast
3 u que la Chance et ses coups ; et l’Orient, que l’ ascèse infiniment patiente16. Il est curieux, mais non contradictoire, au fo
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
4 e même geste) ; il est intensité mais déprimante, ascèse mais luxurieuse, défi mais masochiste ; il est discours sans fin sur
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
5 e religieuse la plus intense a signifié longtemps ascèse et renoncement, en Occident comme en Orient. (En fait, elle est surto
6 ent une ère technique conduirait aux religions. L’ ascèse était en fait une résistance à la technique sous ses formes primitive
7 leur renoncement et en dépendaient étroitement. L’ ascèse de demain pourra difficilement prendre la forme d’un retour à la natu