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idélité de la culture du peuple hébreu. C’est une
ascèse
: il s’agit de détruire en germe tout ce qui comblerait trop tôt ou t
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reste du souffle ; cette science qui se croit une
ascèse
laïque, et qui n’est trop souvent qu’une impure abstraction. Cette Hi
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forme générale, nous posons ici le principe d’une
ascèse
d’incarnation : volonté d’assumer dans une prise unique tout ce que n
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re au jugement dans son intégrité. Je tiens cette
ascèse
à la fois pour humaine et pour conforme à l’ordre christique tel que
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ique tel que cet ordre nous est adressé ; l’autre
ascèse
, antihumaine et spiritualiste — celle qu’attaque Nietzsche dans Généa
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, nous prétendons l’organiser pour notre usage. L’
ascèse
chrétienne est une lutte contre le péché même, en son principe, lutte
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ment dans l’acte rédempteur de l’humain. Appelons
ascèse
antihumaine toute lutte contre certains effets du péché, qui ne serai
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ans l’autre, mais dans leur séparation. Une telle
ascèse
aggrave cette séparation ; elle va dans le même sens que la durée, et