1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 ssable, ou : la machine est utile, mais peut nous asservir . Ces jugements impliquent une prise de position (sommaire et, ici, né
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
2 t projeter notre angoisse en avant, pour tenter d’ asservir l’imprévu. Bien souvent la recherche historique projette nos désirs e
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
3 alculable. C’est son système, non la machine, qui asservit l’homme. Mais Taylor a créé ce système selon les conceptions matérial
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
4 de vitesse par la technique », qui dès lors nous asservirait au lieu de nous libérer. De là l’idée d’une trêve des inventions, pro