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me des Capétiens, mais un régime ou une formule d’
association
. L’Helvétie n’était guère qu’une unité de race et de géographie. Et l
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peu près : coopératives ou communes forestières,
associations
des gens d’une vallée possédant la terre en indivision. Ces communaut
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égalité des droits nécessite une forme spéciale d’
association
. Et le jeu va se reproduire, va même se compliquer pendant des siècle
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et d’expériences malheureuses d’autres systèmes d’
association
. Voyons maintenant comment elle fonctionne de nos jours, c’est-à-dire
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an. Puis les juridictions formèrent trois grandes
associations
spontanées : Ligue grise, Ligue des Dix-Juridictions, et Ligue de la
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l74. Chose étrange et bien digne de remarque, ces
associations
, dont la majorité des membres appartiennent par ailleurs au parti soc
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national. Le patronat, constitué tout d’abord en
associations
professionnelles et cantonales, s’est donné dès 1870 des organisation
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donné dès 1870 des organisations centrales, ou «
associations
faîtières »75, dont la plus importante, connue sous le nom de Vorort,
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yndicats76 : elles sont et restent avant tout des
associations
de défense des intérêts économiques et professionnels de leurs adhére
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orort), qui groupe 17 chambres de commerce et 105
associations
professionnelles ; l’Union centrale des associations patronales, 30 a
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ociations professionnelles ; l’Union centrale des
associations
patronales, 30 associations professionnelles et 22 régionales ; et l’
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l’Union centrale des associations patronales, 30
associations
professionnelles et 22 régionales ; et l’Union suisse des Arts et Mét
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ers (petit patronat), 24 unions cantonales et 168
associations
professionnelles. Pour compliquer encore le tableau, beaucoup de soci
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art. Ces dernières, à leur tour, consultent leurs
associations
affiliées. Au reçu des réponses (dans un délai fixé) le Conseil fédér
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es débordaient celles des cantons. Le processus d’
association
de communes qui a formé les cantons, puis l’association des cantons q
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ation de communes qui a formé les cantons, puis l’
association
des cantons qui a constitué l’État fédéral, n’est pas né d’autre chos
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urnaux romands. Depuis 1962, date de la demande d’
association
de la Suisse au Marché commun, s’interroger sur l’avenir suisse est d
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t mal vues à cause de l’adjectif. Notre demande d’
association
au Marché commun prit pour certains une allure de Canossa sans agenou
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ou d’un État hégémonique mais, au contraire, de l’
association
progressive de petites autonomies soucieuses de rester telles. Ce fai
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ie, Castille, Prusse ou Piémont, mais d’une libre
association
de communes autonomes, sans autre but que le maintien de leurs libert