1 zaine de pays, et représentant une cinquantaine d’ associations de toutes les tailles, dont plusieurs n’étaient guère qu’un nom abstr

2 ent des résultats concrets. Il a créé une série d’ associations et communautés de travail qui fonctionnent dès maintenant sur un plan

3 est entrée dans les mœurs, même culturelles. Les associations se sont multipliées : instituts de recherches nucléaires, d’enseignem

4 et demi de lecteurs. Et en même temps, il crée l’ Association européenne des festivals de musique, qui groupe aujourd’hui trente-tr

5 ions — officielles ou privées — de la plupart des associations et activités actuellement groupées à la Villa Moynier est parfaitemen

6 qui serait perdu dans l’opération. Chacune de nos Associations ou activités se trouve colorée et modifiée du fait de son voisinage a

7 e prise de contact à Genève. Un mois plus tard, l’ Association européenne des festivals de musique était fondée et se mettait à l’œu

8 un petit fait qui a son importance symbolique : l’ Association des festivals européens a précédé de plusieurs années l’ouverture du

9 lle des directeurs de festivals européens. ⁂ Si l’ association n’avait rien fait d’autre que d’offrir aux directeurs des plus grands

10 mes et des dates, je voudrais souligner ici que l’ association a eu le mérite à mes yeux principal, de provoquer la réflexion de tou

11 s’est donc posé d’entrée de jeu aux membres de l’ association . À l’occasion d’une « Enquête sur le rôle des festivals dans la vie c

12 a vie culturelle de l’Europe », publié en 1957, l’ association proposait la définition suivante : Un festival est d’abord une fête,

13 a jeune sociologie. Pas un seul festival de notre Association n’est « national », soulignons-le : régionaux ou municipaux, chacun d

14 me. 29. Introduction à un volume illustré sur l’ Association européenne des festivals de musique, à paraître pour son XXe annivers

15 résente le principe de la vraie communauté, libre association conclue au nom d’un idéal commun qui la garantit, en vue de sauvegard